Fondamentaux de l'Hypothèque

Perspectives du marché immobilier au Québec 2023

Perspectives du marché immobilier au Québec 2023
Écrit par
  • Samson Solomon
| Sep 20, 2023
Révisé, Sep 26, 2023
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Résumé du rapport sur le marché du Québec

  • Le prix de référence des maisons unifamiliales au Québec a augmenté de 1,6 % sur un an pour s’établir à 528 800 $ en août 2023.
  • Le prix de référence des maisons en rangée/multiplex au Québec a augmenté de 4,1 % sur un an pour s’établir à 540 200 $ en août 2023.
  • Le prix de référence des copropriétés au Québec a augmenté de 1,0 % sur un an pour s’établir à 372 500 $ en août 2023.
  • Le prix composite de référence des propriétés au Québec a augmenté de 1,2 % sur un an pour s’établir à 471 800 $ en août 2023.
  • Le loyer moyen d’un appartement au Québec a augmenté de 14 % sur un an pour s’établir à 1 932 $ en août 2023

Est-ce la première fois que vous achetez une maison?

Perspectives du marché immobilier au Québec

Les données de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) indiquent que le prix moyen des propriétés résidentielles de revente vendues au Québec en août 2023 était de 471 800 $, soit une hausse de 1,2 % par rapport à l’année précédente.

Avec un ratio ventes/nouvelles inscriptions de 60 % en raison du faible inventaire, ce qui indique un marché d’equilibré en Québec.

Verbatim : Ce que les experts locaux de  l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ affirment à propos du marché immobilier provincial de Québec:

« Le marché de Québec enregistre une nouvelle fois des performances supérieures à la moyenne nationale en août. Toutefois, la vigueur du marché tend à s’essouffler avec des niveaux de ventes moins spectaculaires qu’au cours des derniers mois. Cette baisse de régime est surtout attribuable à la Périphérie Nord. Celle-ci continue d’afficher, en août, une hausse nettement plus marquée des propriétés à vendre et qui s’accumulent sur le marché par rapport à la même période l’an dernier », constate Charles Brant, directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ. « Si les conditions de marché demeurent nettement favorables aux vendeurs dans l’Agglomération de Québec et sur la Rive-Sud, avec une relative stabilité des prix, la situation pourrait évoluer dans la Périphérie Nord. À ce chapitre, les conditions de marché atteignent un niveau d’équilibre, offrant déjà un meilleur pouvoir de négociation aux acheteurs dans ce secteur. »

L’augmentation des ventes sur le territoire de la RMR de Québec s’explique notamment par la hausse marquée de l’activité dans le grand secteur de la Rive-Sud de Québec. En effet, avec 116 ventes, le secteur enregistre une hausse de 26 %. L’Agglomération de Québec (400 transactions) suit avec une croissance de 10 %. La Périphérie Nord de Québec a quant à elle connu une baisse marquée des transactions, soit une diminution de 22 % pour un total de 57 ventes.

Le prix médian des unifamiliales s’est établi à 355 000 $ en août 2023, soit une hausse de 7 % par rapport à la même période l’année passée. La catégorie des copropriétés, avec un prix médian de 230 000 $, suit avec une baisse de 3 %. Enfin, le prix médian des plex à 385 000 $ est en recul de 4 %.

Sur une base annuelle, par grand secteur de la RMR de Québec, les prix médians des unifamiliales sont stables ou en hausse. Avec une différence de 0 $ entre août 2022 et août 2023, la variation du prix médian est considérée comme nulle sur la Rive-Sud de Québec. Pour sa part, la Périphérie Nord de Québec enregistre une augmentation de 7 %. L’agglomération de Québec connait quant à elle une hausse de 8 % par rapport à la même période en 2022.

Prévisions du marché d’un mois sur l’autre

Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

Répartition des prévisions de marché par type de propriété

Évolution des prix régionaux par type de propriété

Évolution historique du prix de référence par type de propriété

Variations mensuelles du prix composite des propriétés en Quebec au cours des 10 dernières années

Qui achète des biens immobiliers au Québec?

Jusqu’à récemment, les principaux groupes démographiques qui stimulaient la demande sur le marché de l’immobilier résidentiel au Québec, et notamment à Montréal, étaient ceux qui cherchaient à agrandir leur maison, les investisseurs étrangers qui cherchaient à acheter un bien d’investissement dans l’une des villes universitaires du Canada, les professionnels qui avaient récemment immigré au Canada au cours des cinq dernières années et les migrants de l’extérieur de la province qui faisaient progresser leur carrière à Montréal et dans les environs.

Avec l’adoption du projet de loi omnibus C-32, y compris l’interdiction des acheteurs étrangers et la taxe anti-flipping, la démographie des acheteurs de logements au Québec pourrait s’éloigner de l’investissement étranger. Toutefois, il reste à voir si les efforts visant à limiter les acheteurs étrangers au Québec auront un impact ; selon Statistique Canada, les investisseurs étrangers représentent moins de 5 % des propriétaires de logements au Québec. Toutefois, ce chiffre grimpe à 50 % si l’on considère les propriétés d’une valeur supérieure à 1 million de dollars pour les non-résidents du Québec.

Investisseurs en multi-propriété

Selon un article de Newswire, les investisseurs et les propriétaires de multi-propriétés représenteront plus de 16 % des acheteurs de logements au Québec en 2021 – en particulier au centre-ville de Montréal, les chiffres sont encore plus élevés.

Les acheteurs de première maison représentent traditionnellement plus de la moitié de l’ensemble des achats. Toutefois, cette part a lentement diminué, atteignant un minimum de 46,8 % en juin 2021, les investisseurs immobiliers et les propriétaires de biens multiples comblant la différence.


Selon Statistique Canada, les propriétaires de biens multiples représentent 15 % des propriétaires en Colombie-Britannique et en Ontario et 20 % au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse, mais détiennent respectivement 30 % et 40 % du stock de logement existant.

Les acheteurs d’un logement plus grand

L’agrandissement des maisons par les acheteurs a stimulé la demande de maisons unifamiliales au Québec, qui ont connu la plus forte augmentation de prix d’une année sur l’autre parmi tous les types de propriétés, passant de 371 700 $ en février 2020, ce qui est encore plus de 39 % inférieur au prix actuel de 517 800 $. Vous remarquerez que la plupart des évaluations de maisons à 7 chiffres au Québec sont centrées dans et autour d’Outremont et de Westmount à Montréal.

L’immigration et la migration hors province

Alors que la pandémie a vu des milliers d’acheteurs quitter les zones urbaines à la recherche de plus d’espace et de logements abordables, les nouveaux immigrants font en sorte que les logements abordables du Québec continuent de se multiplier. Bien que de nombreuses provinces, à l’exception de l’Alberta, aient connu une forte migration nette, le Québec continue d’enregistrer une migration nette vers la province, principalement en raison des logements plus abordables et de la culture distincte. Le Québec se targue actuellement d’avoir le deuxième meilleur marché du travail et le deuxième meilleur taux d’activité. Selon ce rapport de Re/Max, le gouvernement fédéral prévoit l’arrivée de 2 millions de nouveaux immigrants au Canada, dont beaucoup choisiront encore de s’installer à Toronto, Vancouver et Montréal.

Premiers acheteurs

Obtenir un prêt hypothécaire au Québec en tant que primo-accédant peut s’avérer difficile pour de nombreuses personnes. En moyenne, les municipalités du Québec ont des taux d’imposition foncière parmi les plus élevés des grandes provinces de taille comparable. L’Ontario affiche une moyenne d’environ 1 %, tandis que la Colombie-Britannique et l’Alberta se situent bien au-dessous.

Bien que des programmes tels que l’incitatif à l’achat d’une première maison soient en place pour aider les gens à accéder à la propriété au Québec, ils n’ont pas encore réussi à compenser l’accessibilité car le test de résistance rend plus difficile l’accès à la propriété. Dans le même temps, la Banque du Canada maintient les taux à un niveau élevé, ce qui constitue un obstacle supplémentaire à l’achat d’une maison si le revenu combiné du ménage ne dépasse pas 120 000 $.

Compte tenu du ralentissement du prix des maisons au cours des 12 derniers mois, le Québec demeure un marché abordable pour l’achat d’une première maison – pour ceux qui cherchent à en avoir pour leur argent!

Conclusion

Le marché de l’immobilier au Québec devrait rester vigoureux, des hausses étant prévues pour le reste de l’année. Le prix moyen des maisons au Québec se rétablit plus rapidement que dans d’autres régions du Canada. Toutefois, cette reprise intervient après des mois de hausses consécutives record pendant la pandémie et l’une des périodes d’appréciation des prix les plus intenses que la ville ait jamais connues.

Bien que le marché immobilier semble reprendre de la valeur au Québec, il est important de se rappeler qu’il faut s’attendre à une certaine volatilité à long terme. C’est toujours un bon moment pour acheter une propriété si vous êtes un acheteur qualifié. À long terme, il faut s’attendre à ce que la valeur des propriétés continue de grimper à mesure que l’immigration amènera plus d’acheteurs sur le marché canadien.

Si vous êtes à la recherche d’une maison en 2023, attendez-vous à un revirement imminent du marché immobilier au cours des prochains mois. Contactez nos experts hypothécaires compétents et sans commission chez nesto pour vous guider dans le processus d’achat d’une maison.

Résumé des loyers du marché

Le marché locatif canadien a connu une hausse record au mois d’août, les loyers moyens atteignant un niveau sans précédent. Cette tendance indique un changement significatif dans le paysage locatif du pays, les prix continuant à grimper malgré l’augmentation du nombre de locations. Ci-dessous, nous explorons cette tendance à l’aide des données de Rentals.ca et d’Urbanation, en analysant les changements dans les différentes provinces et villes.

Aperçu national : Une hausse record

Le mois d’août a été marqué par une hausse remarquable des loyers moyens demandés au Canada. Le loyer moyen a atteint un niveau record de 2 117 $, soit une augmentation mensuelle de 1,8 % et un taux de croissance annuel impressionnant de 9,6 %. Cette tendance témoigne de l’escalade de la demande sur le marché de la location, alors que le pays est confronté à une grave pénurie de logements locatifs.

Au cours des trois derniers mois, le marché locatif canadien a connu une augmentation significative de 5,1 % des loyers demandés de mai à août. Cela équivaut à une augmentation de 103 $ par mois, ce qui accroît la pression sur les locataires. Shaun Hildebrand, président d’Urbanation, a expliqué cette tendance en soulignant que, contrairement aux États-Unis, l’inflation des loyers au Canada est restée inchangée, même si le nombre de locations a atteint son niveau le plus élevé depuis des décennies. Cela donne une idée de la grave pénurie de logements locatifs dans tout le pays et de l’impact sur la demande de logements locatifs à mesure que la population augmente rapidement.

Le marché locatif au Québec : Une progression constante

Au Québec, le marché locatif connaît également une hausse constante. La province, connue pour sa riche culture et ses paysages pittoresques, a vu les loyers demandés moyens augmenter de 24,0 % par an pour atteindre 888 $ par mois pour les logements partagés. La flambée des prix des loyers au Québec est principalement attribuée à la forte demande de logements locatifs, stimulée par la croissance de la population et la vigueur de l’économie de la province.

La région du Grand Montréal, en particulier, a connu une augmentation significative des loyers. Malgré les efforts de la ville pour fournir des logements abordables, les loyers moyens demandés ont dépassé la barre des 2 000 $ pour la première fois, atteignant 2 001 $. Cette situation a accru la pression financière sur les locataires, en particulier ceux dont les revenus sont les plus faibles.

Le paysage locatif de l’Ontario : Coût de la vie élevé

L’Ontario, la province la plus peuplée du Canada, est bien au fait du coût élevé de la vie, en particulier sur le marché de la location. La province a connu une augmentation annuelle des loyers de 7,5 % pour atteindre une moyenne de 1 040 $ pour les logements partagés. Cette tendance est particulièrement marquée dans la région du Grand Toronto, où le loyer mensuel moyen a atteint 2 898 $.

Bien qu’elle soit l’une des villes les plus chères du pays, Toronto a enregistré une augmentation annuelle des loyers inférieure à la moyenne, à savoir 8,7 %. Néanmoins, le coût de la location à Toronto reste élevé, alors que le nombre de logements vacants n’a jamais été aussi bas en 20 ans. Cette inabordabilité croissante et cette faible disponibilité constituent une préoccupation importante pour de nombreux résidents et employeurs qui cherchent à attirer des travailleurs.

Le marché locatif de l’Alberta : En tête de la croissance

Le marché locatif de l’Alberta a connu la croissance la plus rapide parmi les plus grandes villes du Canada. Calgary, en particulier, est en tête de la croissance des loyers, enregistrant une énorme augmentation de 17,3 % en glissement annuel en août, ce qui porte le loyer moyen à 2 068 $ pour les appartements construits à cet effet et les appartements en copropriété.

Malgré les défis économiques auxquels la province est confrontée en raison des fluctuations de l’industrie pétrolière et gazière, le marché locatif de l’Alberta est resté solide. L’augmentation significative des loyers en Alberta est principalement due à la demande locative constante de la province, stimulée par la croissance de sa population et la reprise de son économie.

Le marché locatif de la Colombie-Britannique : Des prix aussi élevés que ses montagnes

La Colombie-Britannique, connue pour ses paysages époustouflants et son coût de la vie élevé, a également connu une augmentation considérable des prix des loyers. En Colombie-Britannique, les loyers moyens demandés pour les logements partagés ont augmenté de 17,7 % par an pour atteindre 1 150 $ par mois.

Vancouver, la plus grande ville de la province, reste la ville la plus chère du Canada, avec un loyer mensuel moyen de 3 316 $. La ville a toutefois enregistré une augmentation annuelle des loyers inférieure à la moyenne, soit 7,3 %, et même une diminution de 0,7 % des loyers mensuels moyens. Cela indique que le marché locatif de la ville est peut-être en train de se stabiliser, même si le coût de la location reste élevé.

C’est le moment d’acheter

En conclusion, le marché locatif canadien a connu une flambée des prix sans précédent, les loyers augmentant plus vite que jamais. Cette tendance et la pénurie persistante de logements locatifs ont mis les locataires sous pression dans tout le pays.

Dans ces conditions, le moment est peut-être venu d’envisager l’achat d’une habitation. Malgré les coûts initiaux élevés, être propriétaire de son logement peut offrir des avantages financiers et une stabilité à long terme, en particulier sur un marché où les loyers montent en flèche. Il est donc essentiel de commencer à planifier et à prendre les mesures nécessaires pour accéder à la propriété. Après tout, une habitation n’est pas seulement un lieu de vie, c’est aussi un investissement pour l’avenir.

Part des logements abordables par grand centre urbain

Le premier indicateur mesure la part des logements abordables (dont le loyer représente moins de 30 % du revenu avant impôt) pour le groupe de locataires aux revenus les plus faibles, ceux du quintile de revenus le plus bas (20 %).

*Kitchener, Waterloo et Cambridge Source: CMHC

Évolution du loyer moyen d’un logement de 2 chambres à coucher

Le deuxième indicateur permet de mesurer le loyer moyen des logements nouvellement loués, c’est-à-dire des appartements dont les occupants sont arrivés au cours des 12 derniers mois. Cette nouvelle statistique est très pertinente car elle permet de la comparer avec le loyer moyen des logements occupés depuis plus d’un an.

Source: Gouvernements provincials, Rapport sur le marché locatif de la SCHL (2022)

Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 601,11 $ par mois au taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto, soit [fixe_5], et 641.25 $ par mois au taux variable de 5 ans le plus bas de nesto, soit . Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Chaque variation de 0,25 % des taux hypothécaires a une incidence de 15 à 17 $ sur la mensualité pour un amortissement de 25 ans.

Prix des loyers par rapport aux autres villes canadiennes

Prix des loyers par rapport aux autres provinces et au niveau national

Loyers moyens par type de logement

Croissance des loyers par type de logements

Foire aux questions (FAQ)

Le marché de l’immobilier au Québec va-t-il s’effondrer en 2023?

Les prix des logements au Québec sont actuellement en baisse en raison de la hausse des taux hypothécaires. Les prix au Québec restent inférieurs à la moyenne par rapport au reste du pays, et avec les hausses de taux actuelles de la Banque du Canada, les hypothèques sont plus difficiles à obtenir en raison du test de résistance. Les prix au Québec se redresseront plus rapidement que dans d’autres régions lorsque les taux hypothécaires reviendront à des niveaux gérables pour les acheteurs ou les propriétaires qui souhaitent refinancer leur logement.

Les prix des logements au Québec augmenteront-ils en 2023?

Bien qu’ils soient actuellement en baisse, de nombreux experts estiment qu’un retournement de situation est imminent. Les acheteurs attendent le moment opportun pour passer à l’action. Le marché a déjà commencé à se rapprocher d’un marché de vendeurs.

Comment puis-je obtenir une approbation pour un prêt hypothécaire au Québec?

Pour obtenir un prêt hypothécaire au Québec, consultez les taux hypothécaires du Québec et déterminez le montant que vous pouvez vous permettre. Cela vous donnera une idée de ce qu’il en coûtera pour acheter une maison à Montréal aux prix et aux taux d’aujourd’hui. Vous pouvez vérifier ce dont vous avez besoin pour obtenir une pré-approbation pour un prêt hypothécaire ou commencer par obtenir un devis.

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