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Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Table des matières


    Résumé du rapport national sur le marché immobilier

    • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 693 300 $ en juillet 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 771 900 $ en juillet 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 4,5 % d’une année sur l’autre pour atteindre 632 700 $ en juillet 2025.
    • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 5,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 490 600 $ en juillet 2025.
    • Le loyer moyen au Canada a diminué de 2,2 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 108 $ en juillet 2025.
    • 19 août, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

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    Prix de vente composite

    Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 693 300 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 0,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3,4 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons unifamiliales

    Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 771 900 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 0,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 3 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons de ville et multiplex

    Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 632 700 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 0,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 4,5 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des condos

    Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 490 600 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 0,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 5,4 % au cours des 12 derniers mois.

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    Aperçu du marché immobilier au Canada

    Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en juillet 2025 était de 693 300 $, il a donc diminué de 3,4 % par rapport à l’année précédente.

    L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 52 %, ce qui indique un Équilibré à l’échelle nationale pour juillet 2025.


    Les ventes de maisons au Canada en hausse de 4 % en juillet alors que la GTA mène la reprise

    Selon l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes résidentielles nationales ont augmenté de 3,8 % en juillet par rapport à juin, marquant un quatrième gain mensuel consécutif et une hausse de 11,2 % depuis mars. La région du Grand Toronto (GTA) a mené la reprise, avec des transactions en hausse de 35,5 % par rapport aux creux du printemps, tandis que d’autres marchés urbains, dont Calgary, Edmonton, Regina et Saskatoon, ont également affiché des gains MoM. Le indice des prix des propriétés (IPP) est demeuré inchangé par rapport à juin, tandis que le prix moyen de vente des maisons a augmenté de 0,6 % YoY pour atteindre 672 784 $.

    • Ventes résidentielles : en hausse de 3,8 % MoM, en hausse de 6,6 % YoY
    • Nouvelles inscriptions : stables MoM (+0,1 %)
    • Inventaire : 202 500 unités, en hausse de 10,1 % YoY
    • Indice des prix des propriétés (IPP) : inchangé MoM, en baisse de 3,4 % YoY
    • Prix moyen de vente : 672 784 $, en hausse de 0,6 % YoY

    Performance des régions et grands marchés urbains au Canada

    En Ontario et en Colombie-Britannique, les conditions de marché demeurent partagées. La GTA a enregistré une hausse de 7,7 % des ventes résidentielles MoM en juillet, mais 76 % des propriétés se sont vendues sous le prix demandé, les offres inférieures étant désormais courantes tant pour les condos que pour les maisons unifamiliales. Un inventaire élevé et des enjeux d’accessibilité continuent de peser sur les prix. Les ventes du Grand Vancouver (GVA) ont reculé de 2 % YoY mais montrent des signes de stabilisation, avec un inventaire 40 % au-dessus de la moyenne sur 10 ans qui maintient les prix sous contrôle. Des tendances similaires sont observées dans la vallée du Fraser et à Victoria, où une hausse des inscriptions donne plus de choix aux acheteurs et maintient les valeurs stables.

    Les provinces des Prairies demeurent plus résilientes. L’inventaire à Calgary a bondi de 66 % YoY pour atteindre 6 917 unités, portant les mois d’inventaire à 3,3 et contribuant à une baisse des prix, en particulier pour les appartements et les maisons en rangée ou maisons de ville. L’inventaire à Edmonton a augmenté de 21,8 % YoY, avec des prix stables pour les maisons détachées tandis que les segments des maisons en rangée et des condos se sont affaiblis. Regina et Saskatoon ont également enregistré des gains de ventes en juillet, soutenus par des conditions d’offre équilibrées à serrées qui ont maintenu les prix stables.

    Le marché immobilier du Québec est demeuré fermement à l’avantage des vendeurs en juillet, avec des prix en hausse dans toutes les grandes catégories de propriétés. Montréal a connu une croissance régulière des ventes et seulement une légère hausse des inscriptions, maintenant des conditions compétitives et des surenchères limitées. À Québec, la demande a été particulièrement forte, entraînant certaines des plus fortes hausses de prix de la province et donnant aux vendeurs un net avantage en négociation, avec une part notable des propriétés vendues au-dessus du prix demandé. Dans l’ensemble, l’offre limitée et l’intérêt soutenu des acheteurs ont maintenu des conditions plus serrées qu’en Ontario et en Colombie-Britannique.

    La reprise du marché immobilier continue de stabiliser le secteur résidentiel au Canada atlantique. Halifax-Dartmouth continue d’évoluer dans un marché de vendeurs, avec un inventaire faible soutenant de modestes hausses de prix, tandis que St. John’s reste stable avec une demande constante et des valeurs immobilières stables.

    Pourquoi la reprise du marché national pourrait rester graduelle

    La baisse des taux d’intérêt depuis la mi-2024 a contribué à ramener des acheteurs sur le marché, mais la vitesse de la reprise varie fortement selon les régions. L’Ontario et la Colombie-Britannique continuent de faire face à des problèmes d’accessibilité et à un inventaire élevé, particulièrement dans les marchés de condos urbains. Les marchés des Prairies, du Québec et du Canada atlantique bénéficient d’une offre plus restreinte, ce qui soutient la stabilité des prix. Les plans fédéraux pour Build Canada Homes pourraient augmenter l’offre à moyen terme, mais leur mise en œuvre déterminera leur impact sur les prix et l’accessibilité.

    Impact des ventes de juillet sur les acheteurs, vendeurs et hypothèques au Canada

    Pour les acheteurs, des conditions plus équilibrées dans plusieurs marchés ont amélioré le pouvoir de négociation, particulièrement en Ontario et en Colombie-Britannique, tandis que les acheteurs dans les Prairies et au Canada atlantique font face à des conditions plus serrées mais à des prix relativement stables. Les vendeurs dans les marchés à inventaire élevé devront peut-être fixer un prix compétitif pour attirer des offres, comparativement à ceux dans des régions équilibrées ou à offre restreinte comme certaines parties du Québec et du Canada atlantique où les vendeurs détiennent plus de leviers.

    Les renouvellements dans les marchés plus souples peuvent s’attendre à des évaluations stables ou légèrement inférieures, tandis que ceux dans les zones à offre restreinte peuvent voir des évaluations plus élevées. Les propriétaires canadiens cherchant à refinancer dans les régions à forte demande peuvent bénéficier d’une valeur nette accrue, tandis que ceux dans les marchés de condos en surabondance pourraient rencontrer des lignes directrices de prêt plus strictes. Pour la Banque du Canada, la combinaison de prix stables et de ventes résidentielles en hausse graduelle suggère que la politique monétaire refroidit la demande sans provoquer de baisses généralisées, donnant aux décideurs la flexibilité quant au moment des futurs ajustements de taux d’intérêt.


    Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada

    Transactions – Nombre de ventes

    Le nombre de ventes au Canada a été de 40 228 en juillet 2025, il a donc augmenté de 3,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont augmenté de 6,4 % au cours des 12 derniers mois.

    Nouvelles inscriptions

    Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 76 769 en juillet 2025, il a donc augmenté de 0,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 2,9 % au cours des 12 derniers mois.

    Marché immobilier

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 52 % en juillet 2025, ce qui indique un Équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 3,7 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a augmenté de 3,3 % au cours des 12 derniers mois.

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

    Modifications annuelles du prix composite provincial

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    Les loyers au Canada reculent pour un 10e mois consécutif, en baisse de 3,6 % sur un an

    Selon le rapport national sur les loyers, le marché locatif canadien a poursuivi son ralentissement en juillet, le loyer moyen demandé ayant diminué de 3,6 % par rapport à l’an dernier pour s’établir à 2 121 $. Cette baisse marque le dixième mois consécutif de recul et un repli plus marqué que celui de 2,7 % observé en juin. Malgré ce recul récent, les loyers demeurent 2 % plus élevés qu’en 2023 et 11 % au-dessus des niveaux de 2022.

    Les immeubles locatifs construits à cet effet conservent mieux leur valeur

    Les appartements construits à des fins locatives affichaient un loyer moyen de 2 095 $, en baisse de 1,7 % sur un an, mais en hausse de 23 % sur trois ans. Ils demeurent moins chers que les copropriétés et les maisons unifamiliales en location, tout en offrant plus d’incitatifs.

    Les plus fortes hausses et baisses par type d’unité

    Les logements d’une chambre ont connu le recul annuel le plus prononcé à 4,6 %, tandis que les studios sont demeurés stables avec une baisse minime de 0,6 % et la plus forte croissance sur trois ans, soit près de 20 %. Les appartements de trois chambres construits à des fins locatives ont augmenté de 3,3 % pour atteindre 2 743 $, restant près de 200 $ sous leurs équivalents en copropriété.

    Les leaders et retardataires régionaux

    La Saskatchewan a mené le pays avec une hausse annuelle de 4 % des loyers et demeure la province la plus abordable à 1 384 $. La Colombie-Britannique et la Nouvelle-Écosse ont enregistré les reculs annuels les plus importants, tandis que le Québec a connu une hausse modeste de 3,4 % des loyers pour les logements de trois chambres.

    Faits saillants des grandes villes

    Vancouver et Calgary ont affiché les baisses les plus marquées parmi les grands marchés urbains, chacune dépassant 9 %. Montréal s’en est mieux sortie, avec une baisse de seulement 1,6 % à 1 971 $, tandis que les logements de trois chambres ont progressé de 2,8 %.

    La tendance à la baisse s’étend aux marchés locatifs canadiens

    Selon le RBC, les loyers reculent dans plus de la moitié des 40 plus grandes villes du Canada, avec les baisses annuelles les plus marquées pour les logements de 2 chambres à Vancouver, Kelowna, Calgary, Toronto et Halifax. Cette situation contraste fortement avec le rebond postpandémie, alors que la croissance des salaires et l’immigration alimentaient des hausses à deux chiffres dans de nombreux marchés. Les conditions plus souples reflètent maintenant un mélange de ralentissement de la croissance démographique, particulièrement en Ontario et en Colombie-Britannique après les réductions de l’immigration, de faiblesse dans les secteurs d’emploi exposés au commerce, et d’une augmentation de l’offre locative. Les petits marchés axés sur la clientèle étudiante, comme Kitchener-Waterloo, Guelph et London, enregistrent également des baisses, tandis que les pôles manufacturiers tels que Hamilton, Peterborough et Oshawa ont affiché des loyers stables ou en recul. Ottawa se démarque avec une hausse de 200 $, soutenue par la stabilité de sa fonction publique.

    Plus d’offre et une demande plus faible annoncent la suite

    À l’avenir, la faiblesse persistante du marché du travail, la baisse de l’immigration et l’expansion de l’offre locative laissent présager une modération supplémentaire des loyers. L’amélioration de l’accessibilité à la propriété et la baisse des taux d’intérêt pourraient également réduire la pression sur le marché locatif, tandis que les efforts gouvernementaux pour stimuler la construction résidentielle devraient contribuer à maintenir l’équilibre. Malgré ces tendances, les loyers demeurent largement supérieurs à leurs niveaux d’avant la pandémie dans la plupart des grands centres, ce qui continue de poser un défi d’accessibilité pour de nombreux ménages.

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    Résumé des loyers du marché

    Le loyer moyen au Canada était de 2 108 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 2,2 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 618 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 0,4 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 884 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 4,1 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 291 $ en juillet 2025, il a donc diminué de 2,7 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 759 $ en juillet 2025, il a donc augmenté de 2,7 % d’une année sur l’autre.

    Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

    Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 528,19 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 527,84 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,71 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est 2,75 %, et le taux préférentiel de nesto est 4,95 %.

    Variations des prix de location par ville

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    Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

    2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

    2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

    Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

    Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?

    La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

    Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

    Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

    L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

    L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.


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