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Perspectives du marché immobilier canadien 2026


Résumé du rapport national sur le marché immobilier 2026

  • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 664 900 $ en novembre 2025.
  • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 3,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 738 000 $ en novembre 2025.
  • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 4,8 % d’une année sur l’autre pour atteindre 607 000 $ en novembre 2025.
  • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 5 % d’une année sur l’autre pour atteindre 473 300 $ en novembre 2025.
  • Le loyer moyen au Canada a de 5,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 074 $ en novembre 2025.
  • 18 décembre, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

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Aperçu du marché immobilier au Canada

Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en novembre 2025 était de 664 900 $, il a donc diminué de 3,7 % par rapport à l’année précédente.

L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 53 %, ce qui indique les conditions du marché Équilibré à l’échelle nationale pour novembre 2025.

Prix de vente composite

Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 664 900 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3,7 % au cours des 12 derniers mois.

Prix des maisons unifamiliales

Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 738 000 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 3,4 % au cours des 12 derniers mois.

Prix des maisons de ville et multiplex

Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 607 000 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 4,8 % au cours des 12 derniers mois.

Prix des condos

Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 473 300 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 0,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 5 % au cours des 12 derniers mois.

Transactions – Nombre de ventes

Le nombre de ventes au Canada a été de 40 389 en novembre 2025, il a donc diminué de 0,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont diminué de 7,6 % au cours des 12 derniers mois.

Nouvelles inscriptions

Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 76 542 en novembre 2025, il a donc diminué de 1,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 1,2 % au cours des 12 derniers mois.

Marché immobilier

Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 53 % en novembre 2025, ce qui indique un Équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 1 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a diminué de 8,7 % au cours des 12 derniers mois.

Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

Modifications annuelles du prix composite provincial

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L’activité des acheteurs se stabilise alors que les marchés entrent dans une phase d’attente

Selon l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) et RBC Économie, le marché immobilier canadien a terminé l’année dans une phase de stabilisation plutôt que de reprise complète. Les ventes résidentielles nationales en novembre ont reculé de 0.6% MoM et étaient inférieures de 10.7% par rapport à l’an dernier, confirmant que l’élan s’est aplani après l’essoufflement du rebond observé à la mi-année.
Les prix nationaux continuent de s’assouplir. L’indice des prix des propriétés MLS a diminué de 0.4% MoM et affichait une baisse de 3.7% YoY, tandis que le prix de vente moyen national a reculé d’environ 2% comparativement à novembre dernier. Ces mouvements indiquent une flexibilité accrue des prix, les vendeurs ajustant leurs attentes afin de conclure des transactions avant la fin de l’année.

La performance du marché demeure inégale. L’activité s’est modestement améliorée dans plusieurs marchés des Prairies et du Québec, notamment Montréal, Winnipeg, Calgary, Edmonton, Regina et Saskatoon. Toronto, Vancouver et une grande partie du sud de l’Ontario continuent de tirer de l’arrière, alors qu’une offre élevée, une confiance à l’emploi plus fragile et l’incertitude économique pèsent sur la demande.

  • Les ventes résidentielles nationales ont reculé de 0.6% MoM en novembre et de 10.7% YoY
  • L’indice composite national des prix MLS a diminué de 0.4% MoM et de 3.7% YoY
  • Le prix moyen national des propriétés s’établissait à environ 682 000 $, en baisse de 2% YoY
  • Les mois d’inventaire sont demeurés stables à 4.4, ce qui correspond à des conditions de marché équilibrées

L’équilibre du marché demeure intact, mais des concessions de prix émergent

Malgré le ralentissement de l’activité, l’équilibre du marché national est demeuré stable. Les nouvelles inscriptions ont reculé de 1.6% MoM en novembre, ce qui correspond essentiellement à la baisse des ventes. Ce repli des nouvelles inscriptions a maintenu le ratio ventes-nouvelles inscriptions près de 52.7%, un niveau qui demeure cohérent avec des conditions de marché équilibrées.

Les inscriptions actives s’établissaient à environ 173 000 propriétés à la fin de novembre. Ce chiffre représente une hausse de 8.5% par rapport à l’an dernier, mais demeure légèrement sous la moyenne saisonnière à long terme, ce qui suggère que les acheteurs disposent de plus de choix sans que le marché bascule en situation de surabondance.
Comme l’a souligné l’économiste principal de l’ACI, Shaun Cathcart, « À ce stade, il semble que le rebond de la demande immobilière observé à la mi-année se soit transformé en une phase d’attente à l’approche de 2026, combinée à ce qui ressemble à certaines concessions de prix en novembre afin de conclure des transactions avant la fin de l’année. »

La divergence régionale se poursuit à l’échelle du Canada

Les écarts régionaux demeurent une caractéristique déterminante des perspectives nationales. Dans les marchés plus chers et bien approvisionnés comme Toronto et Vancouver, les acheteurs conservent un levier de négociation, exerçant une pression à la baisse sur les prix. Calgary observe également un assouplissement des valeurs, alors que des niveaux records de nouvelles constructions viennent s’ajouter à l’inventaire disponible.

À l’inverse, certaines régions du Québec et des Prairies demeurent plus serrées. Montréal poursuit une reprise graduelle, soutenue par un inventaire stable et une accessibilité relative plus favorable. Dans ces marchés, la performance des prix s’est montrée plus résiliente, particulièrement pour les maisons unifamiliales.

La certitude entourant les taux d’intérêt modifie la psychologie des acheteurs

Les taux d’intérêt ne constituent plus la principale source d’hésitation qu’ils étaient plus tôt dans l’année. Alors que la Banque du Canada maintient son taux directeur à 2.25%, les attentes sont passées de la recherche de nouvelles baisses à une planification axée sur la stabilité. Cette prévisibilité commence à modifier le comportement des acheteurs, même si les enjeux d’accessibilité demeurent.

La présidente de l’ACI, Valérie Paquin, a souligné ce changement en affirmant que « le signal clair de la Banque du Canada indiquant que les taux sont désormais à peu près au meilleur niveau qu’ils atteindront probablement est le feu vert que de nombreux emprunteurs à taux fixe attendaient sans aucun doute ». Ce signal incite certains ménages à passer de l’attente à la préparation.

Ce que cela signifie pour les prêts hypothécaires au Canada et la prochaine décision de la BdC

Pour les acheteurs, les conditions actuelles favorisent la patience et la négociation, particulièrement en Ontario et en Colombie-Britannique, même si l’accessibilité demeure la principale contrainte.

Les emprunteurs en renouvellement sont bien positionnés pour bénéficier de la stabilité des taux, car celle-ci réduit le risque de choc de paiement et permet une planification plus précise entre les options à taux fixe et variable.

Les propriétaires cherchant à refinancer font face à un environnement plus sélectif. Les prêteurs demeurent prudents, et la faiblesse des valeurs immobilières dans certaines régions limite la quantité de valeur nette pouvant être accessible sans affecter les conditions d’emprunt.

À plus long terme, à moins d’une surprise importante du côté de l’inflation ou du marché du travail, la prochaine annonce de la Banque du Canada devrait confirmer un maintien du taux directeur. Ce contexte favorise une reprise lente, axée sur la confiance, plutôt qu’un rebond rapide du marché immobilier canadien. Pour se préparer de façon proactive, c’est le moment idéal pour les acheteurs potentiels de revoir leurs échéanciers de préautorisation, d’explorer leurs options hypothécaires et de se positionner avantageusement en vue des ajustements attendus du marché au cours de la prochaine année.

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Les loyers continuent de reculer alors que l’offre dépasse la demande

Selon le rapport national sur les loyers  de Rentals.ca pour décembre, le marché locatif canadien a poursuivi son assouplissement à l’approche de la fin de l’année, prolongeant une correction amorcée au cours de la seconde moitié de l’année. Les loyers moyens demandés, tous types de logements confondus, ont reculé de 3.1% YoY pour s’établir à 2 074 $ en novembre, leur niveau le plus bas depuis juin 2023 et environ 100 $ sous les niveaux observés il y a 2 ans. Sur une base mensuelle, les loyers ont diminué de 1.5%, ce qui représente la baisse mensuelle la plus marquée de l’année et un recul plus prononcé que les tendances saisonnières habituelles.
Malgré ce repli, les loyers demeurent élevés par rapport aux niveaux d’avant 2022 et sont encore supérieurs de 3.4% à ceux d’il y a 3 ans, ce qui souligne le soulagement limité pour de nombreux locataires.

  • Les loyers moyens demandés ont diminué de 3.1% YoY et de 1.5% MoM
  • Les loyers nationaux sont inférieurs de 100 $ à leur niveau d’il y a 2 ans, mais demeurent au-dessus des normes à long terme
  • Les indicateurs de la demande ont reculé vers leurs niveaux les plus bas depuis 2021

La demande s’affaiblit alors que la nouvelle offre augmente

La demande locative s’est refroidie plus fortement qu’à l’habitude au cours de l’automne. Le nombre de locataires potentiels actifs a reculé pour un quatrième mois consécutif en novembre et était également inférieur à celui de l’an dernier, ce qui indique un ralentissement structurel plutôt qu’une simple pause saisonnière.
Les pressions liées à l’accessibilité, la diminution de l’immigration nette et l’affaiblissement de la confiance des consommateurs pèsent sur la demande à court terme. Parallèlement, les mises en service record de logements locatifs accroissent la concurrence entre propriétaires, particulièrement dans les grands centres urbains où l’offre de logements locatifs construits expressément à cette fin et de copropriétés a fortement augmenté.

Les logements locatifs construits expressément demeurent le segment le plus résilient

Bien que les loyers aient reculé pour tous les types de logements, les immeubles locatifs construits expressément à cette fin sont demeurés le segment le plus stable et le plus abordable. Les loyers moyens de ce segment n’ont reculé que de 2.0% YoY pour atteindre 2 060 $, surpassant les logements en copropriété et ceux du marché secondaire, qui ont enregistré des baisses plus marquées.
Les logements de plus grande taille continuent de mieux résister. Les loyers des logements locatifs construits expressément de 3 chambres ont augmenté de 2.5% YoY pour atteindre 2 743 $, reflétant la pénurie persistante de logements familiaux, même si les unités plus petites font face à une concurrence accrue. Les loyers des logements d’une chambre ont reculé de 3.8% YoY pour s’établir à 1 811 $, parmi les performances les plus faibles à l’échelle nationale.

Les tendances régionales mettent en évidence une divergence persistante

Les reculs de loyers ont été menés par la Colombie-Britannique, l’Alberta et l’Ontario. Les loyers moyens des appartements ont diminué de 6.4% YoY en Colombie-Britannique, de 4.3% en Alberta et de 3.5% en Ontario, Vancouver et Toronto affichant toutes deux leurs niveaux de loyers les plus bas depuis plus de 3 ans. Les loyers à Calgary ont également continué de reculer, atteignant un creux de 22 mois après plus d’un an de baisses consécutives.
À l’inverse, la Saskatchewan est demeurée le marché le plus solide, affichant une croissance annuelle modeste et prenant la tête du pays avec une hausse de 21.8% au cours des 3 dernières années. Montréal, Edmonton et Ottawa ont enregistré des baisses annuelles plus modérées, Edmonton conservant toutefois la croissance à long terme la plus forte parmi les grands marchés.

Les logements partagés continuent de s’assouplir

Les loyers des logements partagés ont reculé pour un 12e mois consécutif, diminuant de 8.3% YoY pour s’établir à 914 $ à l’échelle nationale, leur niveau le plus bas depuis plus de 2 ans. Vancouver a affiché la baisse la plus marquée, avec des loyers en logement partagé en recul de 12.5% YoY, ce qui reflète une demande plus faible chez les étudiants et les jeunes locataires dans un contexte de conditions du marché du travail plus souples.
Dans l’ensemble, le marché locatif s’ajuste à une période de demande plus faible et d’offre nouvelle élevée. Bien que cela ait fait reculer les loyers par rapport à leurs sommets récents, les pressions liées à l’accessibilité demeurent bien ancrées, et le soulagement reste inégal selon les types de logements et les régions.

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Résumé des loyers du marché

Le loyer moyen au Canada était de 2 074 $ en novembre 2025, il a donc de 5,7 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 580 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 3,1 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 811 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 3,8 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 179 $ en novembre 2025, il a donc diminué de 2,1 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 503 $ en novembre 2025, il a donc augmenté de 0,4 % d’une année sur l’autre.

Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 520,09 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 497,95 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,27 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est 2,25 %, et le taux préférentiel de nesto est 4,45 %.

Variations des prix de location par ville

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Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

Oui, 2025pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver, Calgary, Ottawa, Edmonton et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables.

L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables.

Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

Le marché immobilier canadien connaîtra-t-il une bulle en 2025 ?

La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement en 2025.

Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Montréal et Winnipeg, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

Les prix des maisons au Canada devraient rester stables jusqu’en 2025, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité.

Des villes comme Vancouver, Montreal, Calgary, Ottawa, Edmonton, Winnipeg et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

Quel sera l’impact de la croissance sur les prix de l’immobilier au Canada en 2025 ?

La croissance du Canada continuera d’exercer une pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

L’accessibilité au logement au Canada restera un enjeu crucial en 2025, particulièrement dans des villes comme Toronto et Vancouver, où la demande de logements abordables dépasse largement l’offre. Bien que les prix des logements se stabilisent, l’amélioration de l’accessibilité financière dépendra de l’augmentation du nombre de logements disponibles, de conditions de marché plus équilibrées et de la capacité de la Banque du Canada à ramener l’inflation dans sa cible de 2 %.

Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.


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