Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Table des matières
Résumé du rapport national sur le marché immobilier
- Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3,5 % d’une année sur l’autre pour atteindre 701 800 $ en mai 2025.
- Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 3,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 779 600 $ en mai 2025.
- Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 4,0 % d’une année sur l’autre pour atteindre 643 000 $ en mai 2025.
- Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 4,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 500 300 $ en mai 2025.
- Le loyer moyen au Canada a diminué de 2,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 118 $ en mai 2025.
- 30 juin, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de
pour un prêt fixe de 5 ans.
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Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 701 800 $ en mai 2025, il a donc diminué de 0,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3,5 % au cours des 12 derniers mois.
Prix des maisons unifamiliales
Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 779 600 $ en mai 2025, il a donc diminué de 0,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 3,3 % au cours des 12 derniers mois.
Prix des maisons de ville et multiplex
Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 643 000 $ en mai 2025, il a donc diminué de 0,2 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 4,0 % au cours des 12 derniers mois.
Prix des condos
Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 500 300 $ en mai 2025, il a donc diminué de 0,2 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 4,7 % au cours des 12 derniers mois.
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Aperçu du marché immobilier au Canada
Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en mai 2025 était de 701 800 $, il a donc diminué de 3,5 % par rapport à l’année précédente.
L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 48 %, ce qui indique un marché équilibré à l’échelle nationale pour mai 2025.
Les ventes de propriétés canadiennes augmentent alors que les prix se stabilisent
Selon les données de mai 2025 de l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes de propriétés au Canada ont enregistré leur première hausse mensuelle depuis la fin de 2024. L’activité nationale a grimpé de 3,6 % par rapport à avril, stimulée par des marchés comme Toronto, Calgary et Ottawa. Bien que les ventes soient encore en baisse de 4,3 % comparativement à la même période l’an dernier, la reprise mensuelle laisse entrevoir un regain d’intérêt de la part des acheteurs et des vendeurs.
● Les ventes nationales ont augmenté de 3,6 % sur un mois en mai
● Les nouvelles inscriptions ont progressé de 3,1 % par rapport à avril
● Le prix moyen des propriétés était de 691 299 $, en baisse de 1,8 % sur un an
● L’Indice des prix des propriétés MLS a reculé de seulement 0,2 % d’un mois à l’autre
● Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est resté stable à 47 %
● L’inventaire demeure sous la moyenne à long terme avec 4,9 mois d’offre à l’échelle nationale
Les prix montrent des signes de stabilisation
Même si le prix moyen des ventes reste en recul sur un an, il semble se stabiliser d’un mois à l’autre. L’Indice des prix des propriétés MLS n’a diminué que de 0,2 % depuis avril, alors que les baisses mensuelles précédentes avoisinaient 1 %. Malgré une accessibilité toujours limitée dans des centres comme le sud de l’Ontario et certaines régions de la Colombie-Britannique, d’autres marchés s’en sortent mieux. Les Prairies, l’Atlantique et la région de Québec affichent une plus grande résilience.
Les inscriptions reprennent alors que les vendeurs reviennent
Le nombre de nouvelles inscriptions a progressé de 3,1 % en mai, portant le total des propriétés à vendre à un peu moins de 202 000. Cela reste environ 5 % sous la moyenne historique pour un mois de mai, mais représente une hausse de 13,2 % par rapport à mai 2024. Les vendeurs semblent plus confiants ce printemps, surtout depuis que la volatilité causée par les tensions commerciales avec les États-Unis s’est estompée. La hausse des inscriptions, combinée à un ratio ventes/nouvelles inscriptions équilibré, indique un marché plus sain à l’approche de l’été.
La demande reprend malgré les vents contraires
Même si le contexte économique demeure incertain, notamment en raison du coût élevé de l’emprunt et des préoccupations liées à l’accessibilité, certains signes montrent un retour prudent de l’activité. Shaun Cathcart, économiste principal à l’ACI, souligne que les perturbations passées ont peut-être simplement repoussé la reprise. Des villes comme Toronto, Ottawa, Calgary et Saskatoon enregistrent désormais des volumes de ventes plus solides après un début d’année timide. Cela dit, la confiance reste fragile, surtout en l’absence d’un signal clair de réduction des taux par la Banque du Canada.
Des conditions équilibrées dominent à l’échelle nationale
Avec 4,9 mois d’inventaire et un ratio ventes/nouvelles inscriptions sous la barre des 50 %, le marché immobilier canadien affiche un équilibre relatif. La demande reprend, mais sans urgence : plusieurs ménages attendent des taux plus abordables avant d’agir. En parallèle, les prix ne chutent plus de manière marquée, mais ne remontent pas non plus. Le marché semble donc stable, mais prudent, où même de légers changements de taux ou de confiance économique pourraient faire pencher la balance.
Incidences sur les prêts hypothécaires au Canada et la politique monétaire de la Banque du Canada
La hausse modérée des ventes et la stabilisation des prix en mai pourraient marquer un tournant dans l’activité du marché. Toutefois, l’accessibilité toujours limitée et les taux hypothécaires élevés laissent croire que la Banque du Canada ne changera pas de cap à court terme. Pour les acheteurs, cela offre une meilleure marge de négociation, sans la pression des guerres d’enchères, surtout dans les marchés plus coûteux. Ceux qui renouvellent leur hypothèque pourraient voir un léger soulagement si les taux fixes demeurent stables ou reculent. Quant aux refinancements, la plupart resteront sur la touche tant que les taux ne baissent pas ou que leur valeur nette ne progresse pas. Si la confiance se renforce d’ici l’été, cela pourrait raviver la pression sur le marché immobilier, complexifiant la stratégie de la Banque du Canada en vue d’éventuelles baisses de taux, surtout si l’inflation repart à la hausse.
Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada
Transactions – Nombre de ventes
Le nombre de ventes au Canada a été de 37 626 en mai 2025, il a donc augmenté de 3,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont diminué de 0,5 % au cours des 12 derniers mois.
Nouvelles inscriptions
Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 78 980 en mai 2025, il a donc augmenté de 3,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 9,0 % au cours des 12 derniers mois.
Marché immobilier
Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 48 % en mai 2025, ce qui indique un marché équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 0,5 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a diminué de 8,7 % au cours des 12 derniers mois.
Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.
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Les loyers au Canada reculent après des sommets historiques, mais la hausse printanière est de retour
Selon le rapport national sur les loyers de juin 2025 publié par Rentals.ca et Urbanation, le loyer demandé moyen au Canada s’élevait à 2 129 $ en mai, ce qui représente une baisse annuelle de 3,3 %. Il s’agit de la huitième diminution annuelle consécutive, même si les loyers demeurent près de 6 % plus élevés qu’il y a deux ans et plus de 12 % au-dessus des niveaux d’il y a trois ans. Bien que l’abordabilité se soit légèrement améliorée ces derniers mois, la croissance des loyers au cours des cinq dernières années dépasse encore celle des salaires, ce qui continue de mettre les locataires sous pression partout au pays.
Repli par rapport aux sommets, mais reprise saisonnière en vue
Malgré la baisse annuelle, les tendances récentes indiquent que les loyers devraient repartir à la hausse au printemps. Au cours des trois derniers mois, les loyers à l’échelle nationale ont progressé de 2,0 %, ce qui s’aligne avec les tendances saisonnières habituelles. Les logements locatifs construits expressément à cet effet ont montré le plus de stabilité, avec une baisse modérée de 2,0 % sur un an, comparativement à des reculs plus marqués pour les maisons (-7,0 %) et les copropriétés (-3,6 %). Les logements de plus grande taille, notamment les unités familiales, résistent mieux, en particulier dans les immeubles locatifs, où les appartements de trois chambres ont vu leur loyer grimper de 3,9 %, atteignant en moyenne 2 743 $.
Des écarts provinciaux qui illustrent des réalités divergentes
La Colombie-Britannique et l’Ontario demeurent les provinces les plus chères pour la location, malgré des baisses annuelles de 2,6 % et 3,6 % respectivement. L’Alberta et le Québec ont aussi connu des baisses, alors que la Saskatchewan, le Manitoba et la Nouvelle-Écosse ont affiché des hausses modérées. Les plus fortes augmentations de loyers pour des appartements de trois chambres ont été enregistrées en Saskatchewan (+7,5 %) et en Colombie-Britannique (+7,3 %). À l’inverse, les loyers pour les logements de deux chambres ont fortement reculé en Ontario (-5,8 %) et en Colombie-Britannique (-3,9 %).
Les grandes villes continuent de ressentir la pression sur les loyers
Parmi les six plus grandes villes du pays, quatre ont vu leurs loyers diminuer : Calgary, Toronto, Vancouver et Montréal. Calgary affiche la plus forte baisse annuelle à 7,9 %, suivie de Toronto (-6,8 %) et de Vancouver (-5,9 %). À Montréal, les loyers des appartements ont diminué de 3,3 %. Ottawa et Edmonton sont les seules grandes villes à avoir enregistré des hausses, bien que modestes. Ottawa se distingue avec une hausse des loyers dans toutes les catégories, dont une augmentation de 2,2 % pour les logements de deux chambres, atteignant 2 572 $. En revanche, Calgary a connu la plus forte baisse annuelle pour les trois chambres, avec un recul de 10,1 %.
L’Ontario affiche une grande variabilité des conditions locatives
Les villes ontariennes ont encore une fois affiché des contrastes marqués. Quinze des 25 marchés les plus chers à l’extérieur des six grandes villes se trouvent en Ontario, avec Oakville, Richmond Hill et Markham en tête. En même temps, la province compte aussi plusieurs des marchés les plus abordables ou en recul. Richmond Hill a vu son loyer moyen chuter de 9,0 % sur un an, tandis que Windsor reste l’un des marchés urbains les moins chers, avec un loyer moyen de 1 705 $.
Les loyers en colocation varient selon les régions
Les loyers en colocation ont diminué dans les quatre provinces suivies, avec une baisse nationale moyenne de 4,7 %, à 945 $. Le Québec a enregistré le recul le plus important à -5,7 %, tandis qu’Ottawa a dérogé à la tendance, avec une hausse de 10,0 %, portant le loyer moyen à 1 030 $. Vancouver et Montréal ont toutes deux connu des baisses proches de 10 %, ce qui reflète une demande plus faible ou des changements dans l’offre de logements partagés.
Incidences sur les taux hypothécaires et la politique monétaire
Le ralentissement de la croissance des loyers, en particulier dans les grands centres urbains, atténue la pression inflationniste liée à la composante logement de l’IPC. Si cette tendance se poursuit durant l’été, elle pourrait renforcer les arguments en faveur d’éventuelles baisses de taux par la Banque du Canada, surtout si la croissance salariale demeure modeste. Pour les acheteurs, cela réduit l’urgence de se précipiter sur le marché immobilier si les loyers restent stables. Ceux qui renouvellent ou souhaitent refinancer pourraient aussi bénéficier d’une meilleure accessibilité, à condition que cette tendance se maintienne, bien que beaucoup dépendra encore de l’évolution des taux et de la conjoncture économique générale.
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Résumé des loyers du marché
Le loyer moyen au Canada était de 2 118 $ en mai 2025, il a donc diminué de 2,3 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 614 $ en mai 2025, il a donc diminué de 0,8 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 902 $ en mai 2025, il a donc diminué de 2,9 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 299 $ en mai 2025, il a donc diminué de 3,9 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 755 $ en mai 2025, il a donc augmenté de 3,4 % d’une année sur l’autre.
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Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025
2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?
2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.
Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?
Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.
Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?
La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.
Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?
Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.
Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?
La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.
L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?
L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.
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