Perspectives du marché immobilier canadien 2024
Table des matières
Résumé du rapport national sur le marché immobilier
- Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 2,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 707 700 $ en octobre 2024.
- Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 2,1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 783 100 $ en octobre 2024.
- Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 3,9 % d’une année sur l’autre pour atteindre 650 800 $ en octobre 2024.
- Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 4,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 512 300 $ en octobre 2024.
- Le loyer moyen au Canada a augmenté de 0,5 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 122 $ en octobre 2024.
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Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 707 700 $ en octobre 2024, il a donc diminué de 0,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 2,7 % au cours des 12 derniers mois.
Prix des maisons unifamiliales
Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 783 100 $ en octobre 2024, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 2,1 % au cours des 12 derniers mois.
Prix des maisons de ville et multiplex
Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 650 800 $ en octobre 2024, il a donc diminué de 0,3 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 3,9 % au cours des 12 derniers mois.
Prix des condos
Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 512 300 $ en octobre 2024, il a donc diminué de 0,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 4,4 % au cours des 12 derniers mois.
We’re curious…
Aperçu du marché immobilier au Canada
Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en octobre 2024 était de 707 700 $, il a donc diminué de 2,7 % par rapport à l’année précédente.
L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 59 %, ce qui indique un marché équilibré à l’échelle nationale pour octobre 2024.
Le marché immobilier canadien rebondit en un mois d’octobre atypique
Selon l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), le marché immobilier canadien a connu une hausse en octobre, avec une augmentation de 7,7 % des ventes nationales de maisons d’un mois à l’autre, et une activité en hausse de 30 % par rapport à octobre 2023. Cette croissance coïncide avec la réduction de 50 points de base du taux d’intérêt par la Banque du Canada à la fin d’octobre, ce qui a probablement influencé le marché en réduisant les coûts d’emprunt. Les nouvelles inscriptions ont augmenté de 4,8 % en septembre, offrant un léger répit en matière d’inventaire à court terme. Cependant, elles ont diminué de 3,5 % en octobre, resserrant le ratio ventes/nouvelles inscriptions à 58 %, ce qui reflète des conditions de marché équilibrées mais restreintes.
L’Indice des prix des propriétés MLS (IPP) a montré une légère baisse de 0,1 % d’un mois à l’autre et une diminution de 2,7 % par rapport à l’année précédente, suggérant un environnement de prix stable mais prudent. Par ailleurs, le prix moyen national des ventes (non désaisonnalisé) a grimpé de 6 % sur un an pour atteindre 696 166 $. Cette variation souligne des disparités régionales, certaines zones soutenant l’élan global du marché, notamment la région du Grand Toronto (GTA) et la région du Lower Mainland en Colombie-Britannique, qui ont toutes deux affiché des augmentations de ventes à deux chiffres.
À Toronto, les reventes de maisons ont bondi de 14 % par rapport à septembre, atteignant leur plus haut niveau depuis janvier. Malgré cette activité, l’IPP MLS a légèrement augmenté de 0,1 %, marquant son premier gain en trois mois. Les prix des condos ont subi une pression à la baisse en raison d’une augmentation des nouvelles unités achevées, avec une baisse de 6,1 % de l’indice de référence des condos sur un an, comparée à une diminution de 2,5 % pour les maisons individuelles.
Le marché montréalais a montré des signes de reprise, avec une croissance des reventes de maisons de plus de 6 % entre septembre et octobre, après plusieurs augmentations mensuelles consécutives. Le prix médian des maisons unifamiliales a atteint 589 000 $, une hausse de 8 % sur un an, tandis que les condos ont enregistré une augmentation de 5 %, atteignant 414 000 $.
Vancouver a connu une reprise marquée, avec une augmentation de 22 % des reventes d’un mois à l’autre, atteignant un sommet en 17 mois. Cette hausse a resserré les conditions d’offre et de demande, plaçant le ratio ventes/nouvelles inscriptions en territoire équilibré pour la première fois depuis décembre. Malgré cela, l’IPP MLS composite est resté 1,9 % en dessous de son niveau d’il y a un an.
Calgary a maintenu des conditions de marché solides, avec des reventes de maisons environ 50 % au-dessus des niveaux prépandémiques. En octobre, l’augmentation de l’activité de revente a dépassé celle des nouvelles inscriptions, resserrant légèrement les conditions du marché. Les hausses de prix se sont modérées, avec un taux de croissance annuel réduit à 4,5 %, le plus bas en plus d’un an.
À l’avenir, de nouvelles baisses des taux d’intérêt et des changements potentiels aux règles de l’assurance hypothécaire devraient soutenir l’activité du marché à court terme. Cependant, les contraintes d’abordabilité restent significatives, particulièrement dans les marchés très en demande comme Toronto. L’évolution du marché immobilier dépendra largement de l’équilibre entre la demande des acheteurs et la disponibilité des nouvelles inscriptions dans les mois à venir. De plus, les facteurs macroéconomiques, tels que les niveaux d’inflation et les tendances de l’emploi, continueront à influencer le sentiment des acheteurs. La résilience du marché face à ces dynamiques souligne la nature évolutive du secteur immobilier canadien et l’adaptabilité de ses participants.
Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada
Transactions – Nombre de ventes
Le nombre de ventes au Canada a été de 43 294 en octobre 2024, il a donc augmenté de 7,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont augmenté de 24,0 % au cours des 12 derniers mois.
Nouvelles inscriptions
Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 73 351 en octobre 2024, il a donc diminué de 3,5 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont diminué de 2,4 % au cours des 12 derniers mois.
Marché immobilier
Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 59 % en octobre 2024, ce qui indique un marché équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 11,6 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a augmenté de 21,1 % au cours des 12 derniers mois.
Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.
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Le marché locatif canadien se réajuste avec une première baisse depuis la pandémie, ravivant l’espoir d’un ralentissement de l’inflation
Le marché locatif canadien a connu un changement notable en octobre 2024, avec une baisse moyenne des loyers demandés de 1,2 % sur un an, atteignant 2 152 $—la première diminution depuis juillet 2021. Les rapport national sur les loyers de Rentals.ca et Urbanation et une analyse de Desjardins mettent en lumière les tendances évolutives des coûts locatifs au pays.
Tendances nationales des loyers :
- Loyer moyen demandé : Baisse de 1,2 % sur un an à 2 152 $, première diminution en plus de trois ans.
- Principales baisses : Observées dans des grandes villes comme Toronto, Vancouver, Calgary et Montréal.
- Immeubles locatifs dédiés : Augmentation annuelle de 1,7 % des loyers à 2 100 $, contrebalancée par une diminution de 3,8 % pour les loyers des copropriétés à 2 265 $.
- Demande de logements partagés : Les annonces ont augmenté de 58 % sur un an, l’abordabilité étant un facteur clé.
- Alternatives abordables : Des villes comme Regina, SK (1 296 $) et Windsor, ON (1 549 $) offrent des loyers inférieurs à la moyenne nationale.
Points saillants par province et par ville :
- Colombie-Britannique (C.-B.) : La plus forte baisse de loyers, en recul de 3,4 % à 2 549 $, tandis que le loyer moyen à Vancouver a chuté de 8,4 % à 2 945 $.
- Ontario : Diminution de 5,7 %, avec un loyer moyen à 2 350 $, tandis que Toronto a enregistré une baisse de 9,2 %, avec une moyenne de 2 642 $.
- Saskatchewan : La croissance des loyers la plus rapide, à 17,1 %, avec une moyenne de 1 358 $, tandis que les loyers à Saskatoon ont bondi de 16,6 % sur un an.
- Québec : Légère baisse (0,5 %) à 1 966 $, Montréal enregistrant une diminution de 2,9 %.
- Alberta : Edmonton en tête de la croissance avec une augmentation de 8,4 %, atteignant 1 584 $.
- Vancouver (2 945 $) et Toronto (2 642 $) restent les plus chères pour les loyers d’appartements.
- Ville de Québec : Les loyers d’appartements y atteignent un minimum de 1 718 $, tandis que Lloydminster reste le marché le moins cher à 1 176 $.
- Ratio loyer-revenu : Toronto : Les locataires consacrent 48,5 % de leur revenu au logement, avec peu de potentiel d’épargne. Montréal : Les locataires ont un ratio plus équilibré de 26,3 %, avec des loyers moyens plus bas (1 987 $), facilitant l’accès à la propriété.
Ce recul a principalement été observé dans les grands centres urbains, dont Toronto, Vancouver, Calgary et Montréal. Shaun Hildebrand, président d’Urbanation, attribue cette tendance à l’inversion de facteurs ayant précédemment stimulé la croissance des loyers, tels qu’une économie en expansion, une augmentation rapide de la population et une baisse de l’accessibilité à la propriété.
Sur le plan provincial, la Colombie-Britannique et l’Ontario ont enregistré les baisses annuelles les plus importantes des loyers moyens demandés pour les appartements, en recul de 3,4 % à 2 549 $ et de 5,7 % à 2 350 $, respectivement. À l’inverse, la Saskatchewan a affiché une augmentation de 17,1 %, conservant sa position de province à la croissance la plus rapide des prix locatifs.
À Toronto, le loyer moyen demandé pour les appartements a chuté de 9,2 % à 2 642 $, tandis qu’à Vancouver, il a baissé de 8,4 % à 2 945 $. Calgary et Montréal ont également enregistré des baisses, avec des loyers en recul de 4,7 % à 1 995 $ et de 2,9 % à 1 987 $, respectivement. En revanche, les loyers des appartements à Edmonton ont augmenté de 8,4 %, atteignant en moyenne 1 584 $, mettant en évidence des disparités régionales dans le marché locatif national.
Une récente analyse de Desjardins prévoit un ralentissement de l’inflation des loyers au cours des prochaines années, en corrélation avec une réduction anticipée de l’immigration et une hausse du taux de chômage. La récente décision du gouvernement fédéral de réduire les objectifs d’immigration de 20 % vise à alléger les pressions sur la demande de logements, ce qui pourrait freiner les hausses de loyers. Les changements dans les politiques d’immigration ajoutent une incertitude : une croissance plus lente de la population pourrait réduire la demande, tandis qu’une croissance soutenue maintiendrait les pressions locatives élevées.
Alors que l’accès à la propriété demeure hors de portée pour de nombreux Canadiens, la dépendance au logement locatif a explosé. L’inflation des loyers a atteint 8,3 % au troisième trimestre de 2024—son rythme le plus rapide depuis les années 1980 et bien au-dessus des 5,5 % de croissance des prix des logements occupés par leur propriétaire. L’inflation des loyers devrait ralentir dans les prochaines années en raison de la hausse du chômage et d’une croissance plus lente de la population, l’Alberta et la Saskatchewan étant susceptibles de connaître les baisses les plus rapides. Cependant, les directives de contrôle des loyers plus élevées du Québec pourraient maintenir une inflation élevée.
Une étude comparative de Money.ca entre Toronto et Montréal a révélé des différences significatives dans les ratios loyer-revenu. À Montréal, les locataires consacrent environ 26,3 % de leur revenu au loyer, les unités d’une chambre coûtant en moyenne 960 $ par mois, ce qui facilite l’épargne en vue d’un achat immobilier. En revanche, à Toronto, les locataires dépensent environ 48,5 % de leur revenu pour le loyer, avec un coût moyen de 1 691 $ pour un appartement d’une chambre, posant des défis plus importants pour les acheteurs potentiels.
Le marché locatif canadien traverse une période d’ajustement, avec des baisses de loyers dans les grandes villes et des tendances variées à travers les provinces. Ces évolutions reflètent des changements économiques plus larges et des politiques influençant l’abordabilité et la disponibilité des logements à l’échelle nationale.
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Résumé des loyers du marché
Le loyer moyen au Canada était de 2 122 $ en octobre 2024, il a donc augmenté de 0,5 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 635 $ en octobre 2024, il a donc augmenté de 6,3 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 923 $ en octobre 2024, il a donc diminué de 0,8 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 308 $ en octobre 2024, il a donc diminué de 0,2 % d’une année sur l’autre.
Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 693 $ en octobre 2024, il a donc augmenté de 6,4 % d’une année sur l’autre.
Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?
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Foire aux questions (FAQ)
Est-ce que 2024 est une bonne année pour acheter une propriété?
Malgré l’incertitude qui règne sur le marché immobilier, 2024 pourrait constituer un excellent moment pour acheter une propriété. Les taux d’intérêt et le prix des propriétés sont susceptibles de diminuer tandis que les salaires augmentent – ce qui se traduit par une augmentation du pouvoir d’achat.
Le Canada se trouve-t-il dans une bulle immobilière, et celle-ci va-t-elle éclater?
Le prix de l’immobilier au Canada a augmenté de façon fulgurante depuis 2000, et avec la pandémie actuelle et la poussée de l’inflation, certains pensent que le Canada pourrait être en train de sortir d’une bulle immobilière. Toutefois, les experts sont partagés quant à l’éclatement ou non de cette bulle; certains pensent que les prix pourraient connaître une baisse, mais rester relativement stables, tandis que d’autres s’attendent à ce que les prix baissent davantage.
Devrais-je attendre pour obtenir un prêt hypothécaire en 2024?
La décision d’attendre ou non pour obtenir un prêt hypothécaire en 2024 dépend principalement de votre situation financière. Tenez compte des conditions et des prévisions actuelles du marché dans votre planification financière et dans vos projets à long terme. Il ne faut pas non plus oublier qu’en attendant, vous risquez de passer à côté de certaines opportunités, surtout lorsque les taux hypothécaires commenceront à baisser.
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EXPLICATIONS
Taux d’intérêt
Valeurs de propriété
L’Indice des prix des propriétés
Types de propriétés
Catégories de propriété
L’assurance strate
Valeurs de loyers
Critères de qualification
Titres professionnels réglementés
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Nous vous remercions de votre patience et de votre compréhension et vous encourageons à nous envoyer un courriel à l’adresse website@nesto.ca pour nous faire part des informations qui doivent être corrigées, accompagnées de vos sources.
Valeurs de propriété
Les valeurs des propriétés recensées par l’ACI ou l’APCIQ sont présentées comme la référence composite ou les prix moyens pour chaque ville/province/région, à moins que cela ne soit précisé. Elles peuvent être indifféremment appelées prix moyens des propriétés, bien qu’un prix moyen puisse ne pas être disponible pour de nombreuses régions en dehors du Québec.
L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP)
L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP) est un indice des prix de l’immobilier compilé par l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) qui suit l’évolution du prix des propriétés dans votre quartier. Il s’agit d’un moyen rapide pour les Canadiens de comparer les prix des propriétés dans différentes régions du Canada et entre différentes périodes, sans avoir à tenir compte des caractéristiques uniques d’une propriété particulière.
Alors que les prix du marché peuvent varier d’un mois à l’autre en fonction de facteurs saisonniers, l’indice des prix des propriétés (IPP) offre une vision plus cohérente et permet de suivre l’évolution des prix sur une période prolongée. L’indice des prix des propriétés (IPP) est mis à jour sur une base annuelle, en mai, afin de refléter les changements survenus sur les marchés immobiliers.
L’IPP MLS® est le moyen le plus exhaustif et le plus précis de suivre le niveau et les tendances des prix des propriétés d’un quartier. L’IPP MLS se fonde sur plus de 15 ans de données provenant du système MLS® et sur des modèles statistiques avancés pour créer une propriété « typique » en fonction des caractéristiques des propriétés achetées et vendues. Cette propriété de référence fait l’objet d’un suivi dans tous les quartiers du Canada et pour divers types de propriétés.
Types de propriétés
Les maisons unifamiliales, également appelées maisons individuelles, sont des propriétés résidentielles autonomes qui ne sont pas reliées à d’autres bâtiments. Il s’agit d’une unité résidentielle unique légale sur sa propre parcelle de terrain et d’un titre de propriété séparé.
Les maisons jumelées se caractérisent par leur conception architecturale unique, où deux maisons sont construites côte à côte et partagent un mur mitoyen. Bien qu’elles partagent un bâtiment, les maisons jumelées ont leur propre parcelle de terrain et des titres de propriété distincts.
Les maisons de ville sont des habitations résidentielles généralement caractérisées par des structures étroites et hautes, partageant souvent des murs avec les unités voisines. Bien qu’elles puissent partager des cours ou des éléments communs avec leurs voisins, les maisons de ville ont des titres de propriété distincts de ceux des bâtiments adjacents. Les maisons de ville peuvent être achetées en pleine propriété ou en location au sein d’une copropriété ou d’une strate et peuvent être accompagnées de leur propre parcelle de terrain. Les maisons de ville peuvent faire partie d’un immeuble de faible ou de grande hauteur.
Les condominiums, également appelés copropriétés, sont des propriétés résidentielles qui combinent des éléments d’appartements et de propriétés individuelles. Il s’agit d’une unité au sein d’un immeuble ou d’un complexe plus vaste appartenant à un particulier qui partage également la propriété des parties communes et des équipements avec les autres résidents. Les propriétaires de condos sont légalement propriétaires de leurs unités et peuvent les modifier dans le cadre des directives établies par le syndicat des copropriétaires. Contrairement aux maisons de ville, les condos n’offrent pas l’usage exclusif de l’espace extérieur, à moins qu’ils ne soient dotés d’un balcon ou d’une terrasse. Les condos peuvent faire partie d’un immeuble de faible ou de grande hauteur.
Les plexes ou multiplexes sont des immeubles résidentiels uniques composés de 2 à 6 unités au sein d’une même structure. Traditionnellement, ils sont conçus comme des immeubles résidentiels de faible hauteur où chaque unité est accessible par une entrée extérieure, les étages supérieurs étant reliés par des escaliers. Chaque unité dispose d’une immatriculation et d’un titre de propriété distincts, mais peut partager des éléments communs et des charges de copropriété avec les autres propriétaires du multiplexe. Les plex sont courants au Québec et dans les vieux quartiers de Toronto.
Catégories de propriété
La pleine propriété est un type de propriété dans lequel un individu ou une entité possède des droits de propriété complets et indéfinis sur une propriété et sa parcelle de terrain. Les types de propriété en pleine propriété les plus courants sont les maisons unifamiliales, les maisons jumelées, les fermes et les maisons de ville qui ne font pas partie d’un syndicat de copropriétaires.
Un condominium ou une copropriété est une catégorie de propriété distincte qui combine la vie en appartement et la propriété individuelle. Dans un condominium, les unités individuelles appartiennent aux résidents, tandis que les parties communes et les équipements sont partagés entre tous les propriétaires d’unités. Ce type de propriété vous donne des droits sur votre unité spécifique et certains droits et responsabilités sur les parties communes, comme les corridors, les ascenseurs, le garage, la piscine et les terrasses sur les toits.
Le bail est un accord juridique en vertu duquel une personne ou une entité détient le droit d’utiliser et d’occuper une propriété pendant une période déterminée, en général par le biais d’un contrat de bail. Dans certains cas, le titulaire du bail peut être propriétaire du bâtiment ou de l’unité et louer le terrain au propriétaire foncier (bailleur).
L’assurance strate
L’assurance strate est une assurance qu’une strate ou une copropriété utilise pour couvrir les dommages causés aux parties communes, aux actifs et aux passifs de la strate. Elle peut également couvrir les équipements construits ou installés dans le cadre de la construction initiale de chaque unité, même s’il ne s’agit pas de structures communes. L’assurance de la copropriété peut couvrir les éléments suivants :
- Bâtiments et structures sur la propriété de la strate, y compris les parties communes comme le garage, le toit, le hall d’entrée, la piscine, etc,
- Les responsabilités pour tout dommage matériel ou corporel dû à une blessure subie sur une propriété de la strate,
- Ce qui inclut également les installations dans l’unité standard ou une partie de la fabrication d’origine de chaque unité.
L’assurance de la copropriété ne couvre généralement pas les effets personnels et les appareils électroménagers dans une unité de copropriété. Les dommages causés par des propriétaires d’unités individuelles (par exemple, un dégât des eaux dû à la négligence d’un propriétaire d’unité) sont généralement couverts par l’assurance personnelle de la copropriété.
Valeurs de loyers
Nos moyennes de loyers mensuelles ou d’une année à l’autre proviennent du rapport national sur les loyers d’Urbanation, publié mensuellement sur Rentals.ca.
Critères de qualification hypothèques
Les critères d’admissibilité assurés se limitent à un ratio d’amortissement brut de la dette (ABD) de 39 % et à une période d’amortissement maximale de 25 ans. Pour les calculs des transactions hypothécaires assurées, nous avons utilisé dans nos exemples une mise de fonds de 20 %, sauf indication contraire, et exclu toute prime d’assurance prêt hypothécaire (SCHL). Les critères d’admissibilité non assurés sont limités à un ratio de 35 % de l’amortissement brut de la dette (ABD) et à une période d’amortissement maximale de 30 ans. Nous nous sommes basés sur une mise de fonds de 20 % pour les calculs de transactions hypothécaires non assurées dans nos exemples. Sauf indication contraire, un coût de chauffage mensuel de 100 $ est attribué au paiement mensuel total soumis à la simulation de crise.
Les taux d’imposition municipaux sont les plus récents indiqués sur le site Web de la municipalité concernée (le taux de 1 % est utilisé par défaut lorsqu’il n’est pas disponible ou pour une région dont le taux d’imposition n’est pas spécifié). L’assurance prêt hypothécaire n’est pas autorisée pour les achats dont la valeur est égale ou supérieure à 1 million de dollars, pour les amortissements supérieurs à 25 ans ou pour les opérations de refinancement.
Titres professionnels réglementés
Les provinces du Québec (AMF) et de Terre-Neuve-et-Labrador (Digital & Government Service NL) utilisent toutes deux exclusivement le titre de courtier hypothécaire pour l’octroi des licences.
En Ontario (FSRA), les courtiers et les agents hypothécaires servent tous deux d’intermédiaires entre les emprunteurs et les prêteurs, en aidant les clients à trouver les options hypothécaires les plus adaptées à leur situation financière. Un agent hypothécaire travaille sous la supervision d’un courtier hypothécaire et participe à la procédure de demande d’hypothèque. Le courtier hypothécaire peut également être responsable des exigences de conformité pour son agence de courtage ou son équipe.
La Colombie-Britannique (BCFSA) reconnaît deux rôles distincts au sein du secteur hypothécaire : le courtier en sous-hypothèques et le courtier hypothécaire. Ces postes ont des responsabilités et des fonctions spécifiques qui contribuent au processus global d’obtention d’hypothèques pour les clients. Le courtier hypothécaire auxiliaire travaille sous la supervision d’un courtier hypothécaire titulaire d’une licence et participe à diverses tâches, comme la collecte d’informations sur les clients, l’établissement de documents et la liaison avec les prêteurs. Le courtier hypothécaire supervise l’ensemble du processus de demande d’hypothèque, y compris l’évaluation des besoins du client, la recherche d’options hypothécaires appropriées, la négociation des conditions et le respect des réglementations.
En Alberta (RECA) et au Nouveau-Brunswick (FCNB), la distinction entre un associé en hypothèques et un courtier hypothécaire réside dans leurs rôles et responsabilités au sein du secteur hypothécaire. Un associé en hypothèques travaille généralement sous la supervision d’un courtier hypothécaire et participe à la procédure de demande d’hypothèque en rassemblant les documents nécessaires et en apportant son soutien aux clients. Un courtier hypothécaire est autorisé à négocier et à organiser des prêts hypothécaires pour le compte de ses clients, ce qui lui permet d’offrir une gamme plus complète d’options hypothécaires et d’acquérir une plus grande expertise dans ce domaine.
En Saskatchewan (FCAA) et en Nouvelle-Écosse (Government of Nova Scotia, Business Licensing), il existe des rôles distincts pour les courtiers hypothécaires associés et les courtiers hypothécaires. La différence majeure réside dans le niveau d’expérience et les exigences en matière de licence. Les courtiers hypothécaires associés travaillent sous la supervision d’un courtier hypothécaire titulaire d’une licence et sont en début de carrière. Ils peuvent aider à recueillir des informations sur les clients et à préparer des demandes d’hypothèque. Les courtiers hypothécaires ont obtenu les qualifications et les licences nécessaires pour travailler de manière indépendante et fournir des services hypothécaires directement aux clients. Ils sont habilités à négocier les conditions du prêt hypothécaire, à conseiller les clients et à faciliter le processus hypothécaire du début à la fin.
Au Manitoba (MSC), un vendeur est principalement responsable de la promotion et de la vente de produits ou de services, tandis qu’un agent agréé est habilité à prendre des décisions juridiquement contraignantes au nom de l’organisation. Ces rôles sont assortis de différents niveaux d’autorité et d’expertise, le vendeur se concentrant sur les ventes et l’agent agréé ayant des pouvoirs de décision plus étendus et assurant la liaison entre la société de courtage et l’organisme de réglementation.
Pour une liste complète des termes de licence au Canada, veuillez consulter la liste publiée par le Conseil des régulateurs des courtiers en hypothèques du Canada (CRBHC).
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Les titres comme courtier hypothécaire, agent hypothécaire, courtier en sous-hypothèques, vendeur de prêts hypothécaires ou courtier principal sont des termes de licence réglementés au niveau provincial et assortis d’exigences de formation propres à chaque province. Toutefois, ils peuvent tous être désignés sous le nom de courtiers hypothécaires. En Ontario, où on utilise le terme d’agent hypothécaire,
Les courtiers hypothécaires ou les courtiers principaux ont une responsabilité supplémentaire en matière de conformité et de formation des agents hypothécaires.Les conseillers en hypothèques titulaires d’un permis utilisent souvent la norme du secteur, à savoir « courtier en hypothèques », « courtier » ou « conseiller », pour se désigner eux-mêmes. Toutefois, les exigences en matière de divulgation des titres des conseillers hypothécaires agréés varient d’une province à l’autre au Canada. Ces divulgations exigent des courtiers hypothécaires qu’ils respectent des règles spécifiques lorsqu’ils utilisent des titres pour représenter leurs qualifications et leur expertise. Les provinces disposent de règlements et de lignes directrices qui régissent l’utilisation des titres par les courtiers hypothécaires. Ces règlements visent à assurer la transparence et à protéger les consommateurs dans le secteur hypothécaire.
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