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Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Table des matières


    Résumé du rapport national sur le marché immobilier

    • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 698 000 $ en juin 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 3,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 776 400 $ en juin 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 4,7 % d’une année sur l’autre pour atteindre 637 200 $ en juin 2025.
    • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 5,2 % d’une année sur l’autre pour atteindre 494 600 $ en juin 2025.
    • Le loyer moyen au Canada a diminué de 1,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 111 $ en juin 2025.
    • 25 juillet, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

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    Prix de vente composite

    Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 698 000 $ en juin 2025, il a donc diminué de 0,5 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3,7 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons unifamiliales

    Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 776 400 $ en juin 2025, il a donc diminué de 0,4 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 3,4 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons de ville et multiplex

    Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 637 200 $ en juin 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 4,7 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des condos

    Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 494 600 $ en juin 2025, il a donc diminué de 1,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 5,2 % au cours des 12 derniers mois.

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    Aperçu du marché immobilier au Canada

    Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en juin 2025 était de 698 000 $, il a donc diminué de 3,7 % par rapport à l’année précédente.

    L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 50 %, ce qui indique un Équilibré à l’échelle nationale pour juin 2025.


    Les prix des maisons au Canada se stabilisent alors que les ventes reprennent dans les principales régions

    Selon l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes résidentielles à l’échelle nationale ont augmenté de 2,8 % en juin 2025 par rapport à mai, poursuivant le rebond entamé le mois précédent. Même si le rythme des ventes reste modéré selon les standards historiques, l’activité commence à s’accélérer, surtout dans la région du Grand Toronto, où les transactions ont bondi de 17,3 % depuis avril.

    • Prix moyen national en juin : 691 643 $, en baisse de 1,3 % comparé à juin 2024
    • Indice des prix MLS : -0,2 % sur un mois, -3,7 % sur un an
    • Ratio ventes-inscriptions : 50,1 %, ce qui indique un retour à un marché équilibré
    • Inscriptions actives : en hausse de 11,4 % sur un an, à seulement 1 % sous la moyenne historique
    • Mois d’inventaire : 4,7, légèrement sous la norme de 5 mois

    Malgré des ventes plus fortes, les nouvelles inscriptions ont reculé de 2,9 % en juin, ce qui resserre l’offre. L’ACI et RBC notent que le redressement du marché immobilier canadien, freiné plus tôt cette année par l’incertitude économique, semble maintenant prendre forme. Un automne plus vigoureux est probable, à moins que des chocs externes comme les tensions commerciales avec les États-Unis ne viennent bouleverser les perspectives.

    Points saillants régionaux

    • Ontario et Colombie-Britannique : Le marché demeure faible avec des baisses de prix à Toronto, Niagara, Guelph et Vancouver. L’inventaire reste élevé et l’abordabilité demeure un enjeu.
    • Québec et Canada atlantique : Les prix continuent de grimper, menés par Québec (+13,5 % sur un an), avec des hausses aussi à Montréal, Saint John, Fredericton et Halifax.
    • Prairies : Regina, Saskatoon et Winnipeg affichent des hausses annuelles de prix de 7 % ou plus.
    • Alberta : Les ventes se stabilisent à Calgary et Edmonton, où l’inventaire en croissance exerce une pression à la baisse sur les prix.

    Tendances des prix résidentiels

    À l’échelle nationale, les prix sont relativement stables. L’indice MLS n’a reculé que de 0,2 % en juin, après des baisses plus marquées au début de 2025. Ce ralentissement procure un répit temporaire sur le plan de l’abordabilité, surtout pour ceux qui avaient été évincés du marché durant la flambée pandémique. L’ACI souligne que les comparaisons annuelles paraîtront bientôt plus favorables en raison de la correction des prix amorcée fin 2024.

    Demande et niveaux d’inventaire

    La hausse du ratio ventes-inscriptions et la baisse des mois d’inventaire montrent que la demande dépasse de nouveau l’offre dans plusieurs villes, notamment Montréal, Québec et Regina. En revanche, les acheteurs en Ontario et en Colombie-Britannique font toujours face à des coûts d’emprunt élevés et à un surplus d’inventaire.

    Effet sur les prêts hypothécaires et les décisions de la Banque du Canada

    Ce rebond du marché immobilier en juin, jumelé à une stabilisation des prix, envoie des signaux partagés à la Banque du Canada. Pour les acheteurs, les conditions actuelles peuvent offrir une meilleure accessibilité dans les marchés plus lents comme l’Ontario ou la C.-B., mais la montée de la confiance ailleurs pourrait réduire ces fenêtres rapidement. Les emprunteurs au renouvellement doivent toujours composer avec des taux élevés, bien que le recul des rendements obligataires suggère un allègement potentiel des taux fixes. Quant aux refinancements, ils pourraient bénéficier d’évaluations plus élevées dans les marchés en croissance, alors que ceux dans des zones plus faibles risquent de faire face à des critères de prêt plus serrés.

    La prochaine décision de la Banque du Canada tiendra probablement compte de ces disparités régionales. Néanmoins, la tendance nationale vers une reprise des ventes et une stabilité des prix renforce l’argument en faveur du statu quo sur les taux à court terme.


    Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada

    Transactions – Nombre de ventes

    Le nombre de ventes au Canada a été de 38 684 en juin 2025, il a donc augmenté de 2,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont diminué de 0,5 % au cours des 12 derniers mois.

    Nouvelles inscriptions

    Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 76 690 en juin 2025, il a donc diminué de 2,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 3,8 % au cours des 12 derniers mois.

    Marché immobilier

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 50 % en juin 2025, ce qui indique un Équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 5,9 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a diminué de 4,2 % au cours des 12 derniers mois.

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

    Modifications annuelles du prix composite provincial

    Variations annuelles du prix composite national


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    Les loyers au Canada s’adoucissent, mais demeurent élevés à long terme

    Selon les données récentes du le rapport national sur les loyers, le loyer moyen demandé à l’échelle nationale a reculé de 2,7 % en juin par rapport à l’an dernier pour s’établir à 2 125 $, poursuivant une tendance de neuf mois de baisses annuelles. Malgré ce ralentissement, les loyers restent 12 % plus élevés qu’il y a trois ans, une croissance largement alimentée par le marché locatif construit expressément à cette fin et par les fortes hausses enregistrées entre 2022 et 2024.

    Tendances nationales et selon le type de logement

    • Loyer moyen demandé à l’échelle nationale : 2 125 $ en juin 2025
    • Variation annuelle : -2,7 %
    • Variation sur trois ans : +11,9 %
    • Logements locatifs construits à cette fin : +24,6 % en trois ans, malgré une baisse de 1,1 % sur un an
    • Marché secondaire des condos : -4,9 % sur un an, seulement +1,6 % en trois ans
    • Maisons jumelées/maisons de ville : -6,6 % sur un an, -0,2 % en trois ans

    Les studios ont surpassé tous les autres types d’unités, avec une hausse de près de 20 % des loyers en trois ans. Les unités d’une et deux chambres ont connu des baisses annuelles plus marquées (-3,5 %), tandis que les logements de trois chambres sont demeurés plus stables, avec une hausse de 4,4 % sur un an dans les immeubles locatifs construits expressément.

    Comparaison provinciale et municipale

    Parmi les provinces, les baisses annuelles les plus importantes ont été enregistrées en Colombie-Britannique et en Alberta (-3,1 % chacune), suivies de près par l’Ontario avec une baisse de 2,3 %. Sur trois ans toutefois, l’Alberta (+32,8 %) et la Saskatchewan (+36,2 %) ont affiché les plus fortes hausses de loyers d’appartements au pays. Fait notable, la Saskatchewan est la seule province à avoir affiché une croissance positive sur un an en juin (+4,2 %), tout en conservant le loyer moyen le plus bas au Canada à 1 396 $.

    Parmi les grandes villes, Calgary a connu la plus forte baisse annuelle des loyers d’appartements avec -7,9 %, suivie de Vancouver (-7,0 %), Toronto (-4,7 %) et Montréal (-2,3 %). À l’inverse, certaines unités spécifiques ont enregistré une hausse marquée des loyers, notamment les appartements de trois chambres à Vancouver (+13,9 %), les deux chambres à Ottawa (+3,7 %) et les trois chambres à Montréal (+3,2 %).

    À noter, North Vancouver et Richmond Hill demeurent les villes les plus chères pour louer au Canada, tandis que Lloydminster, Regina et Winnipeg figurent parmi les marchés locatifs les plus abordables.

    Logements partagés et influence gouvernementale

    Le loyer moyen demandé pour un logement partagé a chuté de 5,1 % sur un an pour s’établir à 939 $ en juin, avec des reculs importants à Vancouver (-11,6 %) et Calgary (-6,6 %). Ottawa fait exception à la tendance, avec une hausse de 12,8 % atteignant un sommet record de 1 058 $.

    La SCHL rapporte que les plafonds imposés aux résidents temporaires et aux étudiants internationaux contribuent également à modérer la demande, particulièrement dans les grandes villes comptant une forte population étudiante. Les nouvelles constructions ajoutent de l’offre disponible, exerçant une pression à la baisse sur les loyers à Toronto, Vancouver et Halifax.

    La baisse des loyers pourrait faire pencher la balance sur les décisions hypothécaires et la stratégie de taux de la Banque du Canada

    Avec la baisse des loyers moyens dans plusieurs villes, surtout dans les provinces les plus touchées par les problèmes d’abordabilité, la pression pourrait s’atténuer quelque peu pour les acheteurs potentiels qui hésitent entre louer ou acheter. Toutefois, le niveau encore élevé des loyers dans plusieurs régions, jumelé à la baisse des taux hypothécaires, pourrait rendre l’achat plus attrayant, surtout dans les Prairies et les provinces de l’Atlantique. Les emprunteurs en renouvellement pourraient envisager temporairement la location si les taux hypothécaires actuels dépassent leur capacité. Quant aux refinancements, les propriétaires d’immeubles locatifs doivent considérer que la baisse des loyers dans certains marchés pourrait affecter leurs revenus et flux de trésorerie. Pour la Banque du Canada, un recul de l’inflation locative pourrait appuyer une décision de maintien ou de réduction des taux, contribuant à un assouplissement dans les secteurs locatif et résidentiel.

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    Résumé des loyers du marché

    Le loyer moyen au Canada était de 2 111 $ en juin 2025, il a donc diminué de 1,6 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 623 $ en juin 2025, il a donc diminué de 0,1 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 890 $ en juin 2025, il a donc diminué de 3,1 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 294 $ en juin 2025, il a donc diminué de 2,7 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 770 $ en juin 2025, il a donc augmenté de 3,9 % d’une année sur l’autre.

    Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

    Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 522,77 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 527,84 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,71 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est 2,75 %, et le taux préférentiel de nesto est 4,95 %.

    Variations des prix de location par ville

    Variations des prix de location par province

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    Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

    2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

    2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

    Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

    Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?

    La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

    Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

    Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

    L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

    L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.


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