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Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Table des matières


    Résumé du rapport national sur le marché immobilier

    • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 686 800 $ en août 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 2,9 % d’une année sur l’autre pour atteindre 764 800 $ en août 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 4,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 626 200 $ en août 2025.
    • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 5,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 486 000 $ en août 2025.
    • Le loyer moyen au Canada a diminué de 1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 122 $ en août 2025.
    • 6 octobre, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

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    Prix de vente composite

    Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 686 800 $ en août 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3,4 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons unifamiliales

    Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 764 800 $ en août 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 2,9 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons de ville et multiplex

    Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 626 200 $ en août 2025, il a donc diminué de 1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 4,6 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des condos

    Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 486 000 $ en août 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 5,3 % au cours des 12 derniers mois.

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    Aperçu du marché immobilier au Canada

    Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en août 2025 était de 686 800 $, il a donc diminué de 3,4 % par rapport à l’année précédente.

    L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 51 %, ce qui indique un Équilibré à l’échelle nationale pour août 2025.


    Le Canada enregistre son mois d’août le plus actif pour les ventes résidentielles depuis 2021

    Selon l’Association canadienne de l’immeuble (ACI) pour août 2025, le marché résidentiel national se stabilise après deux années de volatilité. Les ventes ont légèrement progressé par rapport à juillet alors que le prix moyen des propriétés est demeuré inchangé. Ces données confirment la résilience de la demande malgré le coût élevé du financement, les acheteurs et les vendeurs s’adaptant graduellement aux nouvelles réalités.

    Août a marqué un cinquième mois consécutif de croissance des ventes, en faisant le mois d’août le plus actif depuis 2021. La Banque Royale du Canada a rapporté que l’activité se redresse lentement mais de façon inégale entre les régions, avec des gains plus solides à Montréal, Calgary et Vancouver, tandis que les marchés ontariens, déjà éprouvés par l’abordabilité, continuent de subir une pression baissière sur les prix.

    • Prix moyen national des propriétés stable à 693 300 $ par rapport à juillet
    • 40 714 ventes, en hausse de 1,1 % d’un mois à l’autre, niveau le plus élevé en quatre ans
    • 79 527 nouvelles inscriptions, en hausse de 2,6 %, offrant plus de choix aux acheteurs
    • Ratio ventes/nouvelles inscriptions à 51,2 %, cohérent avec un marché équilibré

    L’Indice des prix résidentiels affiche le plus faible recul en plus d’un an

    L’indice national composite MLS a reculé de seulement 0,1 % à 687 300 $, ce qui laisse les valeurs 3,5 % sous leur niveau d’il y a un an. Ce recul modeste au niveau national cache toutefois d’importants écarts régionaux.

    • Les marchés ontariens, notamment Toronto et Hamilton, continuent de baisser sous l’effet d’une offre élevée
    • Les provinces des Prairies et l’Atlantique affichent des gains mensuels
    • À Vancouver, les valeurs demeurent sous pression mais la demande croissante rapproche ventes et offre d’un certain équilibre

    L’économiste Rishi Sondhi de la Banque TD a souligné que les conditions d’offre et de demande restent relativement serrées dans plusieurs provinces. En C.-B. et en Ontario, le marché favorise les acheteurs, mais les prix moyens demeurent soutenus par la vigueur des propriétés haut de gamme.

    Nouvelles inscriptions à leur plus haut niveau en quatre ans

    Shaun Cathcart, économiste principal de l’ACI, a indiqué que l’activité se raffermit graduellement depuis cinq mois. Selon lui, la demande refoulée du printemps commence à se matérialiser. Montréal et Ottawa ont affiché une progression plus marquée, alors que Toronto demeure freinée par l’abordabilité et la surabondance des inscriptions.

    L’inventaire national s’est établi à 195 453 propriétés en août, une hausse de près de 9 % en un an. L’offre représentait 4,4 mois d’inventaire (MOI) au rythme actuel, ce qui maintient des conditions équilibrées. Les acheteurs disposent de plus de choix tandis que les vendeurs doivent composer avec des délais de vente plus longs.

    Les tendances régionales montrent des conditions divergentes

    • Toronto : prix toujours à 27 % sous le sommet de 2022 et inscriptions actives en hausse de 35 %. Les ventes de maisons unifamiliales se stabilisent, mais les condos reculent encore.
    • Vancouver : reventes en hausse de 6 % d’un mois à l’autre, troisième hausse consécutive. Les acheteurs reviennent graduellement grâce à plus d’inscriptions.
    • Montréal : l’un des mois d’août les plus actifs depuis 2021, avec des ventes et inscriptions en hausse de plus de 5 %. Les prix progressent légèrement en raison d’une offre limitée.
    • Calgary et Edmonton : ventes en reprise, avec Calgary en hausse de 8 % d’un mois à l’autre. Toutefois, l’abondance de nouvelles mises en marché maintient les prix en baisse de 4,1 % sur un an.
    • Atlantique : l’activité reprend après un printemps plus faible. Halifax se distingue par moins de fluctuations extrêmes et une confiance accrue.

    Le Canada accélère ses cibles en matière d’offre de logements

    Au-delà de l’activité du marché, la question structurelle de l’offre reste au cœur des préoccupations. Le gouvernement fédéral a lancé l’agence « Construire des maisons Canada » avec un programme de 13 milliards $ visant à accélérer la construction abordable. La première phase prévoit 4 000 habitations sur des terrains fédéraux à Toronto, Ottawa, Winnipeg, Edmonton, Dartmouth et Longueuil.

    Le premier ministre Mark Carney a affirmé que « le principal défi du marché du logement est qu’il est simplement trop difficile de bâtir ». Des approches modulaires et usinées seront privilégiées afin de réduire les coûts et les délais. Un fonds de 1 milliard $ pour le logement de transition est également prévu pour les ménages vulnérables.

    Impacts hypothécaires pour acheteurs et vendeurs

    • Acheteurs : conditions équilibrées réduisent les enchères multiples et offrent plus de pouvoir de négociation. Les préapprobations et le test de résistance demeurent essentiels. Les prêts assurés offrent plus de flexibilité de qualification.
    • Renouvellements : des stratégies de courte durée ou de « mélange et prolongation » permettent de gérer le risque en attendant d’éventuelles baisses de taux.
    • Refinancements : la stabilité des valeurs appuie les retraits d’équité pour consolider des dettes ou financer des rénovations, mais les emprunteurs doivent évaluer attentivement les pénalités et les coûts liés à des amortissements prolongés.

    Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada

    Transactions – Nombre de ventes

    Le nombre de ventes au Canada a été de 40 714 en août 2025, il a donc augmenté de 1,1 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont augmenté de 6,2 % au cours des 12 derniers mois.

    Nouvelles inscriptions

    Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 79 527 en août 2025, il a donc augmenté de 3,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 6,5 % au cours des 12 derniers mois.

    Marché immobilier

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 51 % en août 2025, ce qui indique un Équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une diminué de 2,4 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a diminué de 0,3 % au cours des 12 derniers mois.

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

    Modifications annuelles du prix composite provincial

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    Les loyers canadiens recule pour un onzième mois consécutif

    Selon le rapport de septembre 2025 de Rentals.ca et Urbanation, le loyer moyen demandé au Canada a diminué de 2,3 % en glissement annuel en août pour s’établir à 2 137 $. Il s’agit de l’onzième mois consécutif de recul annuel, la plus longue série depuis la pandémie, alors que les loyers avaient chuté pendant quinze mois consécutifs.

    Le recul d’août a été moins marqué que la baisse de 3,7 % enregistrée en juillet et représente la plus faible diminution annuelle depuis novembre 2024. Malgré le recul sur un an, les loyers ont progressé de 0,8 % d’un mois à l’autre, ramenant la tendance sur trois mois en territoire positif avec un gain de 0,4 %.

    Les segments d’appartements et de condos évoluent différemment

    Les appartements locatifs construits à dessein se sont montrés les plus résilients, avec des loyers en baisse de seulement 0,4 % sur un an. En comparaison, les loyers des condos ont chuté de 3,7 % et ceux des maisons et maisons de ville de 6 %. Au cours des trois dernières années, les prix des loyers des immeubles construits pour la location ont grimpé de 22,6 %, les condos de 4,3 %, tandis que les maisons sont demeurées pratiquement stables.

    La Saskatchewan et le Manitoba seuls provinces en croissance

    • Alberta : loyers d’appartements en baisse de 3,5 % à 1 746 $, mais en hausse de 23,5 % sur trois ans.
    • Colombie-Britannique : loyers moyens des appartements en baisse de 2,7 % à 2 467 $.
    • Ontario : loyers des appartements en recul de 2,5 % à 2 330 $, avec les unités d’une chambre en baisse de près de 5 %.
    • Québec : loyers d’appartements stables à 1 959 $, avec une hausse de 3,7 % pour les unités de trois chambres.
    • Saskatchewan : en tête du pays avec une croissance annuelle de 3,2 %, soutenue par le loyer moyen provincial le plus bas à 1 381 $.
    • Manitoba : loyers en hausse de 1,2 % à 1 613 $, seule autre province avec des gains annuels.

    Kingston affiche la plus forte hausse au pays

    • Kingston : loyers d’appartements en hausse de 15 % sur un an, la progression la plus rapide au Canada.
    • Vancouver : loyers en baisse de 9,5 % à 2 820 $, le recul le plus marqué parmi les grands marchés.
    • Toronto : loyers moyens en baisse de 3,4 % à 2 606 $, la plus faible baisse annuelle en plus d’un an.
    • Montréal : loyers en léger recul de 0,5 % à 1 978 $, le plus faible repli parmi les grandes villes.
    • Edmonton : loyers d’appartements en hausse de près de 1 % à 1 585 $, soit un bond de 25,5 % en trois ans.

    L’offre et les politiques publiques visent la stabilité de l’abordabilité

    La hausse de l’offre a joué un rôle majeur dans la modération des loyers. Les annonces de chambres partagées ont bondi de 19 % en août, ramenant le loyer moyen national à 952 $. En parallèle, l’agence fédérale « Construire des maisons Canada » a annoncé un programme de 13 milliards $ visant la construction de 4 000 logements abordables sur des terrains fédéraux à Toronto, Ottawa, Winnipeg, Edmonton, Dartmouth et Longueuil. Le premier ministre Mark Carney a insisté sur le fait que la baisse des loyers passe par des approbations plus rapides et des méthodes de construction rentables comme le modulaire et l’usinage en usine.

    Conséquences résidentielles pour locataires et propriétaires

    • Locataires : la modération des loyers procure un répit à court terme pour ceux qui subissent une pression d’abordabilité, mais les loyers restent supérieurs aux niveaux d’avant la pandémie. La demande devrait rebondir avec l’immigration et la formation de nouveaux ménages.
    • Marchés locatifs : les locataires profitent du ralentissement de la croissance des prix, surtout en Ontario et en C.-B., même si la disponibilité reste limitée dans les marchés plus tendus.
    • Acheteurs : l’accession à la propriété devient plus attrayante alors que l’écart entre loyers mensuels et paiements hypothécaires se réduit, particulièrement si la Banque du Canada reprend l’assouplissement monétaire.
    • Renouvellements et refinancements : une pression baissière sur les taux pourrait améliorer l’abordabilité et la qualification, les prêteurs hypothécaires ajustant leurs critères dans un contexte d’inflation plus modérée.

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    Résumé des loyers du marché

    Le loyer moyen au Canada était de 2 122 $ en août 2025, il a donc diminué de 1 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 641 $ en août 2025, il a donc augmenté de 1,4 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 890 $ en août 2025, il a donc diminué de 3 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 305 $ en août 2025, il a donc diminué de 1,5 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 784 $ en août 2025, il a donc augmenté de 2,8 % d’une année sur l’autre.

    Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

    Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 520,08 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 527,84 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,71 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est 2,50 %, et le taux préférentiel de nesto est 4,70 %.

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    Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

    2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

    2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

    Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

    Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?

    La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

    Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

    Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

    L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

    L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.


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