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Perspectives du marché immobilier canadien 2025


Résumé du rapport national sur le marché immobilier

  • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 679 600 $ en octobre 2025.
  • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 2,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 757 200 $ en octobre 2025.
  • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 619 500 $ en octobre 2025.
  • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 5,2 % d’une année sur l’autre pour atteindre 478 900 $ en octobre 2025.
  • Le loyer moyen au Canada a diminué de 1,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 094 $ en octobre 2025.
  • 26 novembre, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

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Prix de vente composite

Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 679 600 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 0,4 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3 % au cours des 12 derniers mois.

Prix des maisons unifamiliales

Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 757 200 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 0,3 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 2,6 % au cours des 12 derniers mois.

Prix des maisons de ville et multiplex

Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 619 500 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 4 % au cours des 12 derniers mois.

Prix des condos

Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 478 900 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 0,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 5,2 % au cours des 12 derniers mois.

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Aperçu du marché immobilier au Canada

Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en octobre 2025 était de 679 600 $, il a donc diminué de 3 % par rapport à l’année précédente.

L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 52 %, ce qui indique un Équilibré à l’échelle nationale pour octobre 2025.


Les ventes de maisons au Canada augmentent alors que les prix se stabilisent et que l’offre se resserre

Selon l’Association canadienne de l’immobilier (ACIC), les ventes de maisons à l’échelle nationale ont augmenté de 0,9 % d’un mois à l’autre en octobre, marquant un sixième mois consécutif de progression. L’activité demeure 4,3 % inférieure à celle de l’an dernier, mais la tendance générale s’est renforcée alors que la baisse des taux hypothécaires redonne confiance aux acheteurs. Les nouvelles inscriptions ont reculé de 1,4 % sur un mois, ce qui resserre les conditions du marché, tandis que les tendances nationales des prix montrent les premiers signes de stabilisation après plusieurs mois de faiblesse. L’inventaire demeure près des moyennes à long terme, suggérant une reprise graduelle soutenue par les taux plutôt qu’un revirement brusque du marché.

La demande nationale se renforce alors que l’indice MLS HPI progresse de 0,2 % sur un mois

Les ventes nationales se sont améliorées pour un deuxième mois consécutif, soutenues par la baisse des taux hypothécaires fixes et variables et par un contexte de taux d’intérêt plus stable. L’ACIC a indiqué que l’activité des acheteurs a repris sa trajectoire haussière après le léger repli observé en septembre. L’indice MLS HPI national a augmenté de 0,2 % sur un mois, mais demeure en baisse de 3 % sur un an. Le prix moyen national des maisons a reculé de 1,1 % sur un an pour s’établir à environ 690 000 $.

• Ventes de maisons en hausse de 0,9 % sur un mois
• Nouvelles inscriptions en baisse de 1,4 % sur un mois
• Ratio ventes/nouvelles inscriptions (RVNI) en hausse à 52,2 %
• Indice MLS HPI en hausse de 0,2 % sur un mois, en baisse de 3 % sur un an
• Prix moyen des maisons en baisse de 1,1 % sur un an
• Inventaire national stable à 4,4 mois d’offre

Activité régionale contrastée : reprise à l’Ouest et ralentissement en Ontario

Les données de l’ACIC indiquent un élargissement des écarts régionaux. Les marchés de l’Ouest, dont Vancouver, la vallée du Fraser, Calgary et Saskatoon, ont enregistré des hausses de ventes mensuelles alors que de plus en plus d’acheteurs réintègrent le marché à la suite des récentes baisses de taux. Montréal a également connu un regain d’activité malgré la diminution des nouvelles inscriptions, ce qui continue d’exercer une pression à la hausse sur les prix des maisons unifamiliales et des copropriétés.

En revanche, Toronto, Edmonton, Regina et Winnipeg ont affiché de légères baisses mensuelles. À Toronto, les ventes de maisons demeurent environ 25 % inférieures aux niveaux d’avant la pandémie, et les valeurs des condos continuent de subir la plus forte pression à la baisse en raison d’un inventaire élevé et d’une accessibilité limitée. Le léger rebond des reventes à Vancouver n’a que partiellement compensé les défis d’abordabilité persistants, qui continuent de peser sur les valeurs immobilières. Calgary demeure l’un des marchés les plus dynamiques du pays, soutenu par une forte croissance démographique et une offre résidentielle accrue.

L’hésitation des acheteurs persiste tandis que les vendeurs attendent de meilleurs prix

De nombreux acheteurs demeurent prudents malgré la baisse des coûts d’emprunt. L’ACIC souligne que la combinaison d’incertitude économique et de pressions sur l’abordabilité continue de ralentir la prise de décision dans les régions à prix élevés. Les vendeurs se montrent eux aussi plus sélectifs. Les propriétaires ayant acheté ou rénové au sommet du marché pendant la pandémie hésitent à accepter des évaluations plus basses, préférant attendre un signal plus clair de reprise des prix. Les ménages approchant de la retraite évaluent également s’ils doivent réduire la taille de leur propriété maintenant ou reporter la décision en espérant une amélioration de la valeur. Parallèlement, les planificateurs financiers à travers le pays avertissent que des délais prolongés peuvent accentuer la pression financière sur les propriétaires ayant un endettement plus élevé.

Un marché printanier plus actif attendu alors que les taux d’intérêt continuent de baisser

L’ACIC s’attend à un regain d’élan plus marqué au début de 2026, à mesure que la baisse des taux hypothécaires se reflète dans les conditions de qualification et le pouvoir d’achat. Les variations du taux influencent souvent le comportement, entraînant un décalage, et de nombreux acheteurs s’ajustent encore après plusieurs années de coûts d’emprunt élevés. Les marchés où l’offre demeure limitée, notamment dans plusieurs régions du Québec, pourraient continuer à subir une pression haussière sur les prix, tandis que les marchés à forte offre en Ontario et en Colombie-Britannique pourraient connaître une stabilisation plus lente durant l’hiver.

Des taux hypothécaires plus bas améliorent la qualification pour les acheteurs et les propriétaires

La baisse des taux hypothécaires améliore la qualification et allège la pression sur le versement mensuel. Pour les acheteurs, les récentes baisses des taux fixes et variables renforcent le pouvoir d’achat à l’approche du marché printanier. Pour les renouvellements, la réduction des taux fixes atténue la gravité des hausses de versements, en particulier pour les emprunteurs dont l’hypothèque à taux élevé arrive à échéance. Pour ceux qui envisagent un refinancement, des coûts d’emprunt plus faibles facilitent la qualification au test de résistance et élargissent les options de retrait de capitaux, de consolidation de dettes ou d’allongement de l’amortissement.


Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada

Transactions – Nombre de ventes

Le nombre de ventes au Canada a été de 40 423 en octobre 2025, il a donc augmenté de 0,9 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont diminué de 4,4 % au cours des 12 derniers mois.

Nouvelles inscriptions

Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 77 787 en octobre 2025, il a donc diminué de 1,4 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 2,4 % au cours des 12 derniers mois.

Marché immobilier

Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 52 % en octobre 2025, ce qui indique un Équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 2,3 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a diminué de 6,7 % au cours des 12 derniers mois.

Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

Modifications annuelles du prix composite provincial

Variations annuelles du prix composite national


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Les loyers nationaux en baisse de 2,2 % sur un an alors que la demande atteint un creux pluriannuel

Selon le rapport de novembre 2025 de Rentals.ca, les loyers demandés se sont établis en moyenne à 2 105 $ en octobre, en baisse de 2,2 % sur un an, marquant la treizième diminution annuelle consécutive. Le rythme de baisse s’est atténué, octobre affichant le plus faible recul annuel en près d’un an. La demande locative a continué de s’affaiblir pendant un troisième mois consécutif, préparant l’un des hivers les plus calmes des dernières années. Les loyers ont reculé de 0,9 % sur un mois pour atteindre un creux de huit mois, tandis que la moyenne mobile sur trois mois a reculé de 0,3 %.

Seulement 9 villes canadiennes ont enregistré une hausse des loyers supérieure à 3 %. Kingston a dominé avec une hausse de 21,6 % sur un an, atteignant 2 391 $. Longueuil a progressé de 9,8 % sur un an, suivie de Brantford, à 7,1 %, et de Windsor, à 6 %. Les baisses les plus marquées ont été observées à Côte-Saint-Luc, à 19,4 %, en raison de changements dans la composition des annonces, ainsi que sur plusieurs marchés de la Colombie-Britannique et de l’Ontario, comme Coquitlam, East York et New Westminster.

Les loyers en colocation à travers la Colombie-Britannique, l’Alberta, l’Ontario et le Québec ont chuté de 8,1 % sur un an à 920 $, marquant une onzième baisse annuelle consécutive. La Colombie-Britannique a reculé de 10,0 % sur un an, l’Alberta de 7,9 %, l’Ontario de 6,6 % et le Québec de 4,7 %. Vancouver a enregistré la plus forte baisse annuelle parmi les grandes villes à 16,7 %. Calgary a reculé de 9,5 %. Toronto a affiché une légère hausse de 1,4 % sur un an, tandis qu’Ottawa a progressé de 19,1 % grâce à une nouvelle offre de cohabitation.

Les immeubles locatifs construits pour la location demeurent plus stables alors que les studios et condos mènent les baisses

Les loyers des appartements construits expressément pour la location ont reculé de seulement 0,7 % sur un an pour atteindre 2 085 $, ce qui en fait le segment le plus stable au pays. Les loyers des condos ont chuté de 4,3 % sur un an et les autres logements secondaires de 4,7 %. Les logements d’une chambre ont affiché la plus grande baisse annuelle à 3,4 % pour atteindre 1 822 $, tandis que les studios ont reculé de 1,5 %. Les unités de 4 chambres et plus ont diminué de 2,5 % sur un an. Les logements de 3 chambres ont été les plus stables, en baisse de seulement 0,2 % sur un an à 2 539 $. Les appartements construits pour la location à 3 chambres ont augmenté de 3,5 % sur un an à 2 767 $, tandis que les studios en condo ont chuté de 14,2 % sur un an à 1 609 $.

Les provinces de l’Ouest mènent les baisses tandis que les Prairies enregistrent une croissance des loyers

La combinaison des loyers des condos et des appartements construits pour la location a reculé de 1,3 % sur un an à l’échelle nationale. La Colombie-Britannique a affiché la baisse annuelle la plus prononcée, à 5,8 %, suivie de l’Alberta, à 5,3 %. Les loyers en Ontario ont reculé de 2,2 % sur un an, au Québec de 1,4 % et en Nouvelle-Écosse de 0,2 %. La Saskatchewan et le Manitoba ont été les seules provinces à afficher une croissance annuelle, chacune en hausse de 1,8 %. Au cours des deux dernières années, les loyers en Colombie-Britannique et en Ontario ont reculé de 9,6 % et de 7,5 % respectivement, tandis que ceux en Saskatchewan ont grimpé de 24 %.

Les tendances d’abordabilité se divisent alors que Vancouver et Toronto atteignent des creux pluriannuels

Toutes les grandes villes ont enregistré des baisses annuelles. Vancouver a reculé de 7,4 % sur un an à 2 728 $, atteignant un creux de 43 mois. Calgary a diminué de 7,2 % sur un an à 1 851 $. Les loyers à Toronto ont baissé de 3,3 % sur un an à 2 551 $, atteignant un creux de 40 mois après 21 baisses annuelles consécutives. Les loyers à Edmonton ont diminué de 3,4 % sur un an. Ottawa et Montréal ont connu des baisses plus modestes, de 1,9 % et 1,6 %, respectivement. Les unités de 2 chambres à Toronto ont chuté de 7,4 % sur un an, tandis que Calgary a enregistré une baisse de 7,1 % pour les unités de 3 chambres et de 6,8 % pour les logements de 1 et 2 chambres.

North Vancouver est demeurée la ville la plus chère à 3 011 $. Parmi les autres marchés coûteux figuraient Richmond, Oakville, North York et Coquitlam. Neuf des 25 villes les moins chères se trouvaient en Alberta, notamment Lloydminster, Medicine Hat, Fort McMurray et Red Deer, toutes sous 1 400 $. La Saskatchewan est également demeurée abordable, avec Regina à 1 413 $ et Saskatoon à 1 454 $. Au centre du pays, Québec et Winnipeg figuraient parmi les grands marchés les moins coûteux.

Comment la baisse des loyers influence les propriétaires

Pour les locataires, les ralentissements moins marqués indiquent que la correction nationale pourrait se stabiliser, même si la demande demeure faible à l’approche de l’hiver. Les propriétaires en Colombie-Britannique et en Alberta continuent d’être les plus touchés, surtout pour les studios et les logements d’une chambre, tandis que la Saskatchewan et le Manitoba demeurent plus résilients. Pour les emprunteurs hypothécaires, l’assouplissement des conditions du marché locatif peut contribuer à atténuer l’inflation liée au logement, ce qui pourrait influencer les décisions futures de la Banque du Canada.

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Résumé des loyers du marché

Le loyer moyen au Canada était de 2 094 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 1,3 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 612 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 1,4 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 863 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 3,1 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 272 $ en octobre 2025, il a donc diminué de 1,6 % d’une année sur l’autre.

Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 770 $ en octobre 2025, il a donc augmenté de 2,9 % d’une année sur l’autre.

Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 509,35 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 497,95 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,27 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est 2,25 %, et le taux préférentiel de nesto est 4,45 %.

Variations des prix de location par ville

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Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?

La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?

La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.


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