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Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Perspectives du marché immobilier canadien 2025

Table des matières


    Résumé du rapport national sur le marché immobilier

    • Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada a diminué de 3,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 682 600 $ en septembre 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada a diminué de 3,1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 759 800 $ en septembre 2025.
    • Le prix de vente moyen d’une maison en rangée/multiplex au Canada a diminué de 3,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 624 900 $ en septembre 2025.
    • Le prix de vente moyen d’un condo au Canada a diminué de 5,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 482 300 $ en septembre 2025.
    • Le loyer moyen au Canada a diminué de 2,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2 109 $ en septembre 2025.
    • 17 octobre, 2025 : Le taux hypothécaire le plus bas au Canada aujourd’hui est de pour un prêt fixe de 5 ans.

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    Prix de vente composite

    Le prix de vente moyen d’une propriété au Canada était de 682 600 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 0,6 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des propriétés au Canada ont diminué de 3,4 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons unifamiliales

    Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale au Canada était de 759 800 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 0,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les prix des maisons unifamiliales au Canada ont diminué de 3,1 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des maisons de ville et multiplex

    Le prix de vente moyen d’une maison de ville au Canada était de 624 900 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 0,2 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’une maison de ville au Canada a diminué de 3,6 % au cours des 12 derniers mois.

    Prix des condos

    Le prix de vente moyen d’un condo au Canada était de 482 300 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 0,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, le prix d’un condo au Canada a diminué de 5,4 % au cours des 12 derniers mois.

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    Aperçu du marché immobilier au Canada

    Les données de l’Association canadienne de l’immobilier (ACI) indiquent que le prix de référence de revente des maisons résidentielles vendues au Canada en septembre 2025 était de 682 600 $, il a donc diminué de 3,4 % par rapport à l’année précédente.

    L’ACI a également indiqué que le ratio ratio ventes/nouvelles inscriptions (SNLR) était de 51 %, ce qui indique un Équilibré à l’échelle nationale pour septembre 2025.


    Les ventes de maisons au Canada atteignent un sommet de 4 ans malgré un léger ralentissement en septembre

    Selon l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes de maisons au Canada ont légèrement reculé en septembre, les systèmes MLS nationaux enregistrant une baisse de 1,7 % d’un mois à l’autre. Malgré ce repli, septembre a été le mois le plus fort pour les ventes depuis 2021, soulignant la résilience de la demande immobilière après quelques années mouvementées. L’activité a diminué à Vancouver, Calgary, Edmonton, Ottawa et Montréal, mais a augmenté à Toronto et à Winnipeg, maintenant l’élan national.

    L’économiste principal de l’ACIC, Shaun Cathcart, a noté que « après trois ans de demande refoulée et avec des taux d’intérêt enfin revenus à des niveaux plus normaux, une nouvelle dynamique haussière est attendue jusqu’en 2026. »

    Principaux indicateurs du marché immobilier pour septembre 2025

    • Les ventes de maisons à l’échelle nationale ont reculé de 1,7 % sur un mois, mais ont augmenté de 5,2 % sur un an
    • Les nouvelles inscriptions ont diminué de 0,8 % sur un mois
    • Le ratio ventes/nouvelles inscriptions (RVNI) s’est maintenu à 50,7 %, indiquant un marché équilibré
    • Le prix moyen national des maisons s’est établi à 676 154 $, en hausse de 0,7 % sur un an
    • L’indice des prix des propriétés MLS a reculé de 0,1 % sur un mois et de 3,4 % sur un an
    • Le nombre de mois d’inventaire est resté à 4,4, sous la moyenne à long terme de 5 mois

    La présidente de l’ACIC, Valérie Paquin, a déclaré que « bien qu’il y ait plus d’acheteurs sur le marché aujourd’hui qu’à presque tout autre moment au cours des quatre dernières années, l’activité des ventes demeure inférieure à la moyenne et bien en deçà de la tendance à long terme. » Elle a ajouté qu’une amélioration graduelle devrait se poursuivre à mesure que la confiance s’affermit d’ici la fin de 2025 et en 2026.

    Rendement régional du marché à travers le Canada

    • Toronto : les prix des maisons ont continué de se modérer, l’indice des prix MLS affichant une baisse de 0,5 % sur un mois et de 5,5 % sur un an. Les prix ont chuté d’environ 25 % depuis le début de 2022, améliorant l’abordabilité. Les reventes ont grimpé de 22 % depuis le printemps, reflétant un regain d’activité des acheteurs.
    • Vancouver : les reventes ont diminué de 6 % sur un mois, mais sont demeurées 1 % au-dessus du niveau de l’an dernier. L’inventaire a atteint un sommet décennal, faisant baisser le prix de référence de 3,2 % sur un an à 1,14 million de dollars. Malgré cette baisse, l’abordabilité reste un obstacle majeur.
    • Calgary : les conditions du marché se rapprochent de l’équilibre. Les ventes de maisons ont légèrement reculé, tandis que l’inventaire a atteint un sommet de 7 ans, réduisant l’urgence des acheteurs. Les prix de référence ont baissé de 4 % sur un an, et l’offre accrue de nouvelles constructions devrait maintenir la pression à la baisse sur les prix.
    • Montréal : les conditions sont demeurées serrées, soutenant une croissance modérée des prix. Les maisons unifamiliales ont mené la progression, avec des prix en hausse de 7,2 % sur un an, contre 3,6 % pour les copropriétés.
    • Winnipeg et Regina : les deux marchés ont enregistré de petites hausses mensuelles, contribuant à la stabilité nationale malgré des tendances inégales dans les provinces des Prairies.

    Dynamique et perspectives du marché immobilier canadien

    L’ACIC prévoit 473 093 ventes de maisons à l’échelle nationale en 2025, soit une légère baisse de 1,1 % par rapport à 2024. Le prix moyen devrait reculer de 1,4 % à 676 705 $, principalement en raison de conditions plus faibles en Ontario et en Colombie-Britannique. Des gains de 4 % à 8 % sont attendus dans la plupart des autres provinces. En 2026, l’activité devrait rebondir de 7,7 % pour atteindre 509 479 transactions, tandis que le prix moyen national devrait augmenter de 3,2 % pour atteindre 698 622 $, marquant le plus haut niveau de ventes depuis 2021 et confirmant une reprise graduelle du marché.

    Selon RBC Économie, le marché automnal a commencé prudemment, influencé par les défis d’abordabilité et les disparités régionales. L’élargissement de l’offre en Ontario, en Colombie-Britannique et en Alberta a amélioré les options et le pouvoir de négociation des acheteurs, tandis que les marchés plus serrés, comme Montréal, continuent d’afficher des hausses de prix lentes mais constantes.

    • Acheteurs : l’augmentation de l’offre et la stabilité des prix améliorent les conditions d’entrée, surtout à mesure que les coûts d’emprunt diminuent après les réductions de taux de la Banque du Canada.
    • Vendeurs : la concurrence s’intensifie dans les provinces les plus chères, rendant la stratégie de prix et le moment de mise en marché plus essentiels pour attirer les acheteurs.
    • Renouvellements et refinancements : la baisse des taux fixes et la stabilité des évaluations créent de meilleures occasions pour les propriétaires souhaitant renouveler ou refinancer à moindre coût.

    Le marché immobilier canadien évolue vers une phase plus équilibrée et stable, et 2026 s’annonce comme une année de reprise graduelle, soutenue par des taux d’intérêt plus bas, une meilleure accessibilité et une demande constante favorisant la stabilité à long terme.


    Prévisions du marché d’un mois sur l’autre pour le Canada

    Transactions – Nombre de ventes

    Le nombre de ventes au Canada a été de 39 938 en septembre 2025, il a donc diminué de 1,7 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les ventes au Canada ont augmenté de 1,2 % au cours des 12 derniers mois.

    Nouvelles inscriptions

    Le nombre de nouvelles inscriptions au Canada a été de 78 891 en septembre 2025, il a donc diminué de 0,8 % par rapport au mois précédent. D’une année sur l’autre, les nouvelles inscriptions au Canada ont augmenté de 0,7 % au cours des 12 derniers mois.

    Marché immobilier

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions au Canada était de 51 % en septembre 2025, ce qui indique un Équilibré. Sur une base mensuelle, c’est une augmenté de 0,9 % par rapport au mois précédent. Le ratio annuel ventes/nouvelles inscriptions au Canada a augmenté de 0,5 % au cours des 12 derniers mois.

    Le ratio ventes/nouvelles inscriptions est le nombre de ventes de logements par rapport aux nouvelles inscriptions. Un ratio inférieur à 40 % indique un marché d’acheteurs, qui ont l’avantage et un plus grand pouvoir de négociation. Un ratio compris entre 40 et 60 % est un marché équilibré, tandis qu’un ratio supérieur à 60 % est considéré comme un marché de vendeurs.

    Modifications annuelles du prix composite provincial

    Variations annuelles du prix composite national


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    Loyer moyen national en baisse de 3,2 % sur un an

    Selon le rapport national sur les loyers d’octobre 2025, les loyers moyens au Canada ont continué de reculer en septembre. « Les loyers demandés au pays ont diminué de 3,2 % en septembre par rapport au sommet record de l’an dernier, pour atteindre une moyenne de 2 123 $, marquant ainsi le douzième mois consécutif de recul annuel. » Le rapport souligne que cette tendance survient après 38 mois de hausses continues entre 2021 et 2024 et coïncide avec un nombre record de nouveaux logements locatifs, une baisse du nombre de résidents non permanents et un marché de l’emploi plus faible.

    La baisse annuelle se poursuit à l’échelle nationale alors que la tendance à court terme se stabilise

    Les loyers moyens au pays affichent une diminution constante depuis un an. Les loyers ont reculé de 3,2 % comparativement à l’an dernier, pour une moyenne nationale de 2 123 $. Ils ont également diminué de 1,2 % par rapport à il y a 2 ans, marquant le premier recul sur 2 ans depuis janvier 2022. D’un mois à l’autre, la moyenne mobile sur 3 mois est demeurée stable, laissant croire que les prix pourraient se stabiliser après une longue période de repli.

    Les marchés locatifs secondaires mènent les baisses selon le type de propriété

    Tous les types de logements ont enregistré des baisses de loyer. Les loyers des immeubles locatifs construits à cet effet ont diminué de 2,1 % sur un an pour atteindre une moyenne de 2 093 $. Les loyers des copropriétés ont reculé de 3,0 % à 2 226 $, tandis que ceux des maisons et maisons en rangée ont chuté de 5,5 % à 2 178 $.

    Par type d’unité, les loyers ont reculé dans toutes les catégories : les logements 1 chambre ont diminué de 4,1 % à 1 836 $, les 2 chambres ont reculé de 2,6 % à 2 220 $, les studios ont baissé de 2,4 % à 1 616 $ et les logements 3 chambres ont connu la plus faible baisse, soit 1,3 % à 2 561 $.

    Les grands logements ont démontré une plus grande stabilité que les plus petits

    Les grands appartements ont mieux résisté que les plus petits. Les loyers des logements 3 chambres ont augmenté de 0,9 % à 2 755 $ dans les immeubles locatifs construits à cet effet et de 2,4 % à 2 923 $ dans les copropriétés. À l’inverse, les loyers des studios en copropriété ont fortement chuté, diminuant de 8,7 % à 1 708 $.

    Les loyers provinciaux affichent les plus fortes baisses en C.-B. et en Alberta

    Dans l’ensemble des provinces, les loyers ont généralement reculé en septembre, la Colombie-Britannique et l’Alberta menant les diminutions.
     

    • C.-B. : loyer moyen de 2 430 $, baisse de 5,5 % sur un an
    • Alberta : loyer moyen de 1 734 $, baisse de 5,5 % sur un an
    • Ontario : loyer moyen de 2 316 $, baisse de 2,7 % sur un an
    • Nouvelle-Écosse : loyer moyen de 2 293 $, baisse de 2,2 % sur un an
    • Québec : loyer moyen de 1 957 $, baisse de 0,5 % sur un an
    • Saskatchewan : loyer moyen de 1 374 $, baisse de 0,3 % sur un an
    • Manitoba : loyer moyen de 1 680 $, hausse de 2,6 % sur un an

    Sur 2 ans, les loyers ont reculé de 8,5 % en C.-B., de 6,8 % en Ontario et de 0,7 % au Québec. À l’inverse, les provinces des Prairies ont connu la plus forte croissance sur 3 ans, avec des hausses de 27,1 % au Manitoba, 26,5 % en Saskatchewan et 20,5 % en Alberta.

    Les loyers ont diminué dans les 6 plus grandes villes canadiennes en septembre

    Les 6 plus grands centres urbains du pays ont tous enregistré des baisses annuelles de loyer pour les appartements en septembre. Vancouver a affiché la plus forte baisse, tandis que Toronto a enregistré la plus faible en plus d’un an.

    • Vancouver : loyer moyen de 2 776 $, baisse de 8,2 % sur un an
    • Toronto : loyer moyen de 2 592 $, baisse de 2,9 % sur un an
    • Calgary : loyer moyen de 1 897 $, baisse de 7,4 % sur un an
    • Ottawa : loyer moyen de 2 190 $, baisse de 1,3 % sur un an
    • Montréal : loyer moyen de 1 981 $, baisse de 0,5 % sur un an; les logements 3 chambres en hausse de 3,2 % à 2 810 $
    • Edmonton : loyer moyen de 1 573 $, baisse de 2,3 % sur un an; les logements 3 chambres en hausse de 4,9 % à 2 035 $

    La région métropolitaine de Vancouver demeure le marché le plus cher au pays, tandis que l’Alberta offre les loyers les plus abordables

    Les loyers les plus élevés au pays se trouvent toujours dans la région métropolitaine de Vancouver et les marchés environnants, alors que l’Alberta continue d’offrir les coûts les plus bas pour les locataires.
     

    Villes les plus chères : North Vancouver (2 985 $), Richmond (2 809 $), Burnaby (2 611 $), Coquitlam (2 559 $), Oakville (2 701 $), Westmount (2 548 $)

    Villes les plus abordables : Lloydminster (1 235 $), Medicine Hat (1 314 $), Fort McMurray (1 349 $), Regina (1 402 $), Saskatoon (1 437 $), Québec (1 628 $), Sarnia (1 679 $), Winnipeg (1 691 $)

    Kingston et Vaudreuil-Dorion enregistrent la plus forte croissance parmi les villes de taille moyenne

    Kingston demeure en tête au pays pour la croissance des loyers, suivie par quelques villes de plus petite taille.
    Hausse la plus rapide : Kingston +19,9 %, Vaudreuil-Dorion et St. Albert +8,5 %, Abbotsford +7,0 %, Windsor +5,5 %
    Baisses les plus marquées : Coquitlam -15,0 %, Surrey -11,7 %, New Westminster -10,1 %, East York -13,0 %

    C.-B. et Alberta affichent les plus fortes baisses des loyers en colocation

    Les loyers des logements en colocation ont reculé dans toutes les principales provinces, revenant à des niveaux comparables à ceux observés il y a 2 ans.

    Loyer moyen combiné dans 4 provinces : 943 $, baisse de 6,6 % sur un an

    • C.-B. : baisse de 7,4 % à 1 120 $
    • Alberta : baisse de 7,1 % à 841 $
    • Ontario : baisse de 6,9 % à 1 026 $
    • Québec : baisse de 3,7 % à 870 $

    Principales villes : Vancouver -14,7 % à 1 268 $, Calgary -8,4 % à 850 $, Montréal -3,2 % à 901 $, Toronto stable à 1 233 $, Edmonton +0,5 % à 794 $, Ottawa +16,2 % à 1 108 $

    Une modération soutenue des loyers, reflétée dans l’inflation liée au logement, devrait aider la Banque du Canada à maintenir un rythme graduel de réduction des taux d’intérêt jusqu’en 2026, soutenant ainsi une meilleure accessibilité hypothécaire à l’échelle du pays.

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    Résumé des loyers du marché

    Le loyer moyen au Canada était de 2 109 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 2,3 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un studio au Canada était de 1 618 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 2,3 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement d’une chambre à coucher au Canada était de 1 877 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 3,9 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 2 chambres au Canada était de 2 291 $ en septembre 2025, il a donc diminué de 2,4 % d’une année sur l’autre.

    Le loyer moyen pour un logement de 3 chambres au Canada était de 2 768 $ en septembre 2025, il a donc augmenté de 0,9 % d’une année sur l’autre.

    Comment la location se compare-t-elle à l’accession à la propriété ?

    Chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire coûte en moyenne 520,07 $ par mois avec le taux fixe de 5 ans le plus bas de nesto à et 514,13 $ par mois avec le taux ajustable de 5 ans le plus bas de nesto à .  Pour chaque tranche de 100 000 $ de solde hypothécaire, une variation de 0,25 % du taux directeur du Canada affecte le paiement mensuel de 13,51 $. Les taux utilisés pour le calcul sont ceux offerts pour les achats assurés avec une mise de fonds inférieure à 20 % sur un amortissement de 25 ans. Le taux directeur au Canada est 2,50 %, et le taux préférentiel de nesto est 4,70 %.

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    Questions fréquentes (FAQ) sur les perspectives du marché immobilier canadien pour 2025

    2025 sera-t-elle une bonne année pour acheter une maison au Canada ?

    2025 pourrait être une année idéale pour les acheteurs de maison, car les prix des logements au Canada devraient se stabiliser, offrant une fenêtre d’opportunité à ceux qui souhaitent entrer sur le marché. Avec une demande qui devrait rester forte dans les grandes villes comme Toronto, Vancouver et Montréal, les acheteurs devraient agir rapidement dans les régions où les prix sont plus abordables. L’augmentation potentielle de l’inventaire des logements et la réduction des hausses de prix rendront l’accession à la propriété plus réalisable pour les acheteurs financièrement préparés.

    Les prix des maisons au Canada devraient-ils baisser en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient se stabiliser plutôt que de baisser fortement en 2025. Bien que certaines régions puissent connaître de légères corrections de prix, des facteurs tels que la faible offre de logements, la croissance démographique et la demande continue maintiendront les prix relativement stables. Les grands centres urbains pourraient connaître des augmentations modestes, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité. Surveiller les tendances du logement aidera les acheteurs à identifier les zones où les prix sont plus favorables.

    Le marché immobilier canadien sera-t-il toujours en bulle en 2025 ?

    La spéculation sur une bulle immobilière persiste, mais les experts prévoient que le marché immobilier canadien entre dans une période de stabilisation plutôt que d’effondrement. Les pénuries de logements, en particulier dans les régions à forte demande comme Toronto et Vancouver, empêchent des baisses de prix importantes. Bien que des défis liés à l’accessibilité subsistent, le marché canadien est plus susceptible de connaître un atterrissage en douceur, avec des prix des maisons équilibrés à mesure que l’offre s’améliore.

    Quelles sont les prévisions pour les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    Les prix des maisons au Canada devraient rester stables, avec de légères augmentations dans les principaux marchés. Les déséquilibres entre l’offre et la demande continueront de stimuler la croissance, en particulier dans les régions où l’inventaire des logements est limité. Des villes comme Vancouver, Montréal et Toronto resteront compétitives en raison de la demande persistante, tandis que les marchés secondaires pourraient offrir une meilleure accessibilité pour les acheteurs. Surveiller les prévisions régionales des prix aidera à identifier les zones avec des prix stables ou plus bas.

    Comment la croissance démographique influencera-t-elle les prix des maisons au Canada en 2025 ?

    La forte croissance démographique au Canada continuera de faire pression à la hausse sur les prix des maisons en 2025. La demande accrue pour des logements, en particulier dans les centres urbains, dépassera la croissance de l’offre, maintenant des prix compétitifs. Les efforts pour améliorer la construction et résoudre les pénuries d’approvisionnement pourraient aider à équilibrer le marché avec le temps, mais les zones à forte demande devraient continuer à montrer une résilience des prix.

    L’accessibilité des logements s’améliorera-t-elle en 2025 ?

    L’accessibilité des logements au Canada restera un défi majeur en 2025, surtout dans des villes comme Toronto et Vancouver où la demande dépasse de loin l’offre. Bien que les prix des maisons se stabilisent, les améliorations en matière d’accessibilité dépendront de l’augmentation de l’inventaire des logements et de conditions de marché plus équilibrées. Les acheteurs à la recherche d’options abordables devraient explorer des marchés secondaires ou des régions émergentes où les prix restent plus accessibles.


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